Les règles
Les Lois ?

 

Ça, sert à quoi ?

1er service

À savoir obéir. À savoir répéter le même dans la différence. Faire la même chose, quelle que soit la différence du contexte. À reconnaître. À se reconnaître dans l'indistingable des multitudes de différences. Mais, suivre, obéir les règles, les lois instaurées dans les communautés de la société, ça sert à quoi ? Ça sert à éviter les souffrances et ça sert à en provoquer. Ça avantage les uns, ça désavantage les autres. Ça, organise les mêmes plaisirs et les mêmes peines des différences. Ça similarise, à faire toutes et tous (agir pour) la même chose. Pourquoi faire la même chose ? pour atténuer sa peur en se regroupant à faire pareil (contre la terreur d'être perdu.e seul.e dans l'espace de l'univers sans direction ni sens possible). Le remède pour ne pas vivre perdu.e ? Un pis-aller (« faute de mieux »).

Quand les lois sont dites « naturelles » (ce que les scientifiques s'efforcent de découvrir avec la conviction que "la nature" est gouvernée et/ou gouverne par des règles, cru aux vues des répétitions crues des phénomènes observés : l'observation scientifique se détache alors du contexte), ces lois ne sont plus discutables. Pourtant, en permanence, on s'aveugle de croyance, généralement par le désir de sa volonté de croire, celui qu'on projette dans nos perceptions crues voulues du réel. Le réel est en effet impréhensible, insaisissable (lire les tentatives instructives de Clément Rosset). C'est en ça que le réel est réel, sinon, il aurait été approprié pour en faire un objet de commerce. En revanche, l'humanité s'est approprié l'illusion dont elle fait commerce abondamment.

La fonction de la règle. La règle régule pour répéter le même. Les règles qui produisent des différences ne sont plus des règles, mais des algorithmes en évolution adaptative : des suites d'opérations imbriquées contextuelles en mutation. À perce-voir l'existant du réel, il semble que ça fonctionne + de la mutation que de la permanence. Ou, que ça fonctionne + des différences répétées et des répétitions différentes, mêlées. On pense aux algorithmes des nuages en mouvement et des vagues (synthétisés pour créer l'illusion au cinéma) qui se contentent de la répétition qui n'existe pas dans la réalité, celle réelle insaisissable (pas celle humanisée d'illusions).

La « nature » n'obéit pas à des lois immuables ou ne forme pas un ensemble de lois immuables (tel que le monde de la science des savants se persuade pour s'assurer à donner l'argument de sa recherche -de son activité- financée, approuvée, intégré en société celle de l'économie des échanges des nécessités crues), non, la nature PROCÈDE et... « recule d'1 pas pour mieux sauter », autrement dit, joue de l'accommodement dans l'instant en permanence au gré des contextes coïncidant. Improvise ? Le « gré des contextes coïncidant » est le procédé de l'adaptation ou de l'accommodement des tous qui existent avec les tous qui existent (différents semblables ou semblables différents). Est-ce une loi (l'énoncé immuable d'1 fait répété) ? Est-ce général ? une loi immuable « le gré des contextes coïncidant » ? En soit, ne peut l'être, si non, si les grés ne coïncident pas, ça s'arrête = ça meurt (= ça se transforme en autre chose pour coïncider). Il existe des accommodements impossibles de quelques soient (des étants) pour qu'existent, ceux, à côté, possibles. Ça passe des uns aux autres aux « grés des contextes coïncidant ».

La « nature » n'est pas un système dominatoire ou propriétaire (= immuable et préhensible) telle qu'elle est considérée par les humains pour s'en emparer (= saisir) « naturellement ! » et dans lequel, nous, humains, vivons soumis dedans à la soumettre (en créant le rapport de force permanent de l'hostilité pour la guerre permanente provoquée par les êtres humains frustrés par la honte d'avoir peur). L'existence du contexte dans lequel on est présent dans l'instant fait du vivre (le fait d'exister) ce qu'il y a à faire pour continuer à vivre en mourant ou à mourir en vivant (sachant que la mort est le complémentaire de la vie qui fait que la vie existe et vice & versa). L'idée de la « nature » (immuable) reste un argument pour con-vaincre. Où l'assimilarité Dieu <=> Nature se retrouve sous des termes différents. Dans un seul but social : craindre pour vivre dominé pour obéir.

La croyance de la règle immuable est convéniente (= commode/facile au pouvoir de nuire), convient à une société d'humains qui recherchent à se conformer, à se conformer aux règles (car obéir déresponsabilise) qui dans la durée deviennent des lois (de la nature ; réalisé par le conditionnement conduit par la croyance). Instaurer des lois sert à dominer pour se faire obéir. Mais, ce n'est qu'une manière de considérer vivre, parmi d'autres. Celle de l'expression masquée de la peur de vivre. L'immuabilité empêche la muabilité de la mutation, celle d'évoluer ou le pouvoir de s'adapter dans des contextes différents et inconnus. L'espèce humaine, comme celles des insectes (+ nombreux) ou des rongeurs possèdent un champ large d'adaptabilité : des pôles à l'équateur tropical, des humains vivent. (Bien que notre temps d'exister demeure encore inférieur, de + de 3 fois, à celui des dinosaures).

La règle est un accommodement d'accord entre des différences qui cherchent à se ressembler, se rapprocher pour interagir. Une différence trop marquée empêche le rapprochement. Empêche le jeu. Les règles dans le jeu créent le jeu. Désobéir aux règles recrée le jeu (= tricher). Le jeu est détruit quand les joueurs ne jouent pas le jeu tout en restant là à ne pas jouer le jeu (bien que, parfois, ce non-jeu s'intègre dans le jeu, la grève par exemple. La grève ne détruit pas le jeu du travail, elle la renforce : les grévistes désirent travailler, si non, ils ne seraient pas ici en grève, mais ailleurs à jouer à autre chose).

La règle régule la répétition du même dans un contexte de différences. La répétition donne des repères que la différence donne à identifier. Quand l'équilibre se brise entre différence et répétition, trop de différences devient répétition et trop de mêmes répétés devient à se différencier, les extrêmes se rejoignent. Dans notre contexte social, l'assimilation de la différence à la liberté et l'assimilation de la répétition à la dictature de l'ordre avec à l'opposé celui de la transe, donne à comprendre l'enjeu des tiraillements du réel avec la volonté humaine.

 

à suivre

...

 

2d service

Les règles

Suivre, obéir les règles : lois instaurées dans les communautés de la société pour quoi faire ? pour éviter les souffrances et pour en provoquer. Avantage les uns, désavantage les autres. Quand les lois sont dites « naturelles » (ce que les scientifiques s'efforcent de découvrir avec la conviction que la nature est gouvernée ou gouverne par des règles, cru aux vues des répétitions crues des phénomènes observés : l'observation scientifique qui se détache du contexte), elles ne sont plus discutables. Pourtant, souvent, on s'aveugle de croyance, généralement par son désir, celui qu'on projette dans nos perceptions crues du réel (incluses dans le réel). Le réel est dans cet effet impréhensible ≈ insaisissable (lire les tentatives instructives de Clément Rosset).

La règle politique régule pour répéter le même : l'obéissance. Les règles artistiques existent pour différencier des différences. Les règles qui produisent des différences ne sont plus des règles, mais des faires sus (telles des opérations en série, des algorithmes) en adaptation : des suites d'opérations imbriquées en mutation en fonction du contexte. À perce-voir l'existant, il semble que ça fonctionne + de la mutation que de la permanence. Ou, que ça fonctionne + des différences répétées et des répétitions différentes, mêlées. On pense aux opérations des nuages en mouvement ou des vagues de la mer (tous 2 synthétisés pour créer l'illusion au cinéma) qui se contentent de la répétition qui n'existe pas dans la réalité, celle réelle différence encore et toujours insaisissable (par la compréhension et le calcul).

La « nature » n'obéit pas à des lois immuables ou ne forme pas un ensemble de lois immuables (tel le monde de la science des savants se persuade pour s'assurer à donner l'argument de sa recherche -son activité- financée, approuvée, intégré en société celle de l'économie des échanges des nécessités), non, la nature PROCÈDE et... « recule d'1 pas pour mieux sauter », autrement dit, joue de l'accommodement dans l'instant en permanence au gré des contextes coïncidant. Improvise ? Le « gré des contextes coïncidant » est le procédé de l'adaptation ou de l'accommodement des tous qui existent avec les tous qui existent (différents semblables ou semblables différents). Est-ce une loi (l'énoncé immuable d'1 fait répété) ? Est-ce général ? Une loi immuable « le gré des contextes coïncidant » ? En soit ne peut l'être, si non, si les grés ne coïncident pas, ça s'arrête = ça meurt (= ça se transforme en autre chose pour coïncider). Il existe des accommodements impossibles de quelques soit (des étants) pour qu'existent, ceux, à côté, possibles. Ça passe des uns aux autres aux « grés des contextes coïncidant ».

La « nature » n'est pas un système dominatoire ou propriétaire (= immuable et préhensible) telle qu'elle est considérée par les humains pour s'en emparer (= saisir) « naturellement ! » et dans lequel, nous, humains, vivons soumis dedans à la soumettre (en créant le rapport de force permanent de l'hostilité pour la guerre permanente provoquée par les êtres frustrés par la honte d'avoir peur). L'existence du contexte dans lequel on est présent dans l'instant fait du vivre (le fait de l'existence) ce qu'il y a à faire pour continuer à vivre en mourant ou à mourir en vivant (sachant que la mort est le complémentaire de la vie qui fait que la vie existe et vice versa). L'idée de la « nature » reste un argument pour con-vaincre. Où l'assimilarité Dieu <=> Nature se retrouve sous des termes différents. Dans un seul but social : craindre pour dominer pour obéir.

La croyance de la règle immuable est convéniente (= commode/facile au grand pouvoir de nuire). Elle convient aux êtres humains rassemblés en société qui recherchent à se conformer. On se conforme par les règles (car obéir déresponsabilise). L'ensemble des règles à l'usure devient la morale, celle qui dicte le comportement cru voulu décent, celui de la convenance convenable et conventionnée (ça pour pour vivre indistingable des autres où camoufler son individualité imperceptible dans la masse humaine). Dans la durée, la morale se réalise par des lois (de la nature ; réalisé par le conditionnement conduit par la croyance) à obéir (destinées aux nouveaux arrivants : les enfants à éduquer = à faire obéir aux lois instaurées avant leur naissance).

Instaurer des lois ne sert qu'à dominer, pour faire obéir. Mais, ce n'est qu'une seule manière de considérer vivre sa vie, parmi d'autres. Celle de l'expression masquée de la peur de vivre sa vie. L'immuabilité empêche la muabilité de la mutation, celle d'évoluer ou, le pouvoir de s'adapter dans des contextes différents et inconnus. L'espèce humaine, comme celles des insectes (+ nombreux) ou des rongeurs, possède un champ suffisamment large d'adaptabilité : des pôles à l'équateur tropical, les êtres humains peuvent vivre : savent s'adapter à tout environnement terrestre et en vivre. C'est cette adaptabilité qui fait de l'espèce humaine l'animal terrestre le + envahissant. Et elle ne se prive pas, jusqu'à réduire le nombre des autres espèces, celles de sa taille, à néant (elle ne peut rien contre les insectes ou les virus).

Pour le massacre, il n'existe qu'une seule règle : éliminer. Agir l'extinction (pas totale, car sans ennemi, la guerre ne peut plus exister). Dans (ce jeu, contexte de) la guerre avec massacre, toutes les règles, morales et lois disparaissent. La guerre est un jeu stratégique de vaincoeurs (= humains antipathiques) et vainculs (= humains inutiles pris pour nuisibles) conduite par les actes de chefs militaires (= des militants sans voix ?) qui organisent des attaques et contrattaques des troupeaux de soldats — hommes armés entassés, payés pour tuer — obéissants qu'ils commandent, ce pour gagner la partie par l'abdication de son adversaire, pour pouvoir lui prendre son butin convoité. Être vaincoeur, c'est s'emparer de ce qui ne lui appartient pas : comme le pétrole du Proche-Orient ou les mines de minerais rares en Afrique. La guerre a toujours le même et unique objectif : s'emparer par la ruine (et le viol) de la violence (le spectaculaire de l'explosif du dévastatueur) ce que la convoitise commande, autrement dit : la guerre réalise le pillage par le meurtre en masse.

L'explosion attire le spectaculaire (la spécificité du cul à l'air ?) de la guerre. Faire exploser des villes, des êtres humains, des voitures, des bâtiments est ce qui rend la guerre attractive aux joueurs planqués derrière qui commandent ces explosions. La surenchère, du pays avec un seul commandant qui possède le + gros explosant, est rentrée dans la stratégie du combat sans combat de la guerre froide (sans corps mutilés, que les esprits). L'explosion est le spectacle majeur du cinéma popularisé, dont le caisson de grave (dans le dispositif audio-vidéo encerclant le spectateur arrêté dans son fauteuil) : le point un du cinq et du sept, est sa réalisation sonique domestique, ou comment faire rentrer la guerre permanente à la maison.

La guerre est une extrapolation du jeu de compétition. La compétition dispose des adversaires ensemble, dont un seul remportera le prix (et l'autre sera humilié). Les règles du jeu de compétition sont toujours superlatives ; elles doivent susciter la motivation de combattre (de jouer le jeu) : le + fort, le + intelligent, le + rusé, etc., contre le perdant ruiné. Le sport est infecté de cette idéologie compétitive (jusqu'à la surenchère malsaine des dopants) : la guerre de la compétition ou la glorification de l'hostilité. Et, il y a + : toutes les sociétés qui suivent le modèle occidental (dominant) sont infectées de cette morale compétitive agressive. La domination n'existe que par l'abdication (à la bêtise qui provoque sa souffrance). Toutes les occupations sociales occidentales sont motivées par la compétition, le combat « la vie est un combat » (sic) pour les joueuses et joueurs qui donne leur vie à se faire jouer. L'exemple du monde du travail (en entreprise) exige de l'esclave sa combativité s'il veut garder son emploi. Il devrait laisser tomber, mais la peur tient sa volonté, l'esclave employé s'est piégé à ne pas pouvoir vivre de sa volonté.

Une compétition sans violence : n'existe pas. La violence (de l'affrontement) est la source motivante pour vouloir combattre et vaincre et perdre (le perdant est toujours humilié, l'humiliation est aussi le motif de vouloir combattre : son cercle vicieux, son noeud de l'idiot piégé). Moins que la force ou l'intelligence de la ruse, la volonté sans faille à faillir est l'atout du combattant obstiné qui ne désire que vaincre (pour avoir, par le viol). Cette disposition banalisée du comportement en société génère le fait nié par ses joueurs : la compétition sociale permanente est le générateur de la guerre permanente des groupes qui se disposent à la compétition (= au pillage). Le sens de l'existence de la civilisation occidentale est la guerre et la conquête par la violence pour s'emparer de tout ce que les autres disposent. Rien que la volonté de vouloir annihiler par le meurtre et le chantage une culture humaine différente, pour s'emparer de ses terres, telles celles des natifs américains par exemple, est un projet qui ne se justifie pas, même si « la peur du sauvage » a motivé leur assassinat, personne à personne pour donner le massacre connu, ne montre qu'une seule chose : l'Empire occidental est construit sur la terreur et, pour expier (= se purifier de, sic) cette terreur (la peur panique généralisée qui possède les esprits agis) l'Occidental attaque : toute attaque est une réaction à la peur. À commencer par la 1ère, celle de la peur de ne rien manger.

La règle est un accommodement d'accord entre des différences qui cherchent à se ressembler, se rapprocher pour interagir. Une différence trop marquée empêche le rapprochement. Empêche le jeu de compétition. La compétition a besoin de similarité pour exister. On ne peut pas rivaliser ni compétitionner des différences. Avec une règle superlative (qui forme une échelle de valeurs comparables) du type « le + grand » n'a pas de sens entre deux concurrents de différents contextes, tels l'univers et Bertrand. S'ils ne font pas la même chose.

Les règles du jeu créent le jeu. Désobéir aux règles (= tricher) recrée et alimente le jeu : le complexifie. Le jeu est détruit quand les joueurs ne jouent pas le jeu, tout en restant là, à ne pas jouer le jeu — Roger Caillois, Le jeu et les hommes — bien que, parfois, ce non-jeu s'intègre dans le jeu : la grève par exemple. La grève ne détruit pas le jeu du travail, elle le renforce : les grévistes désirent travailler, sinon, ils ne seraient pas ici en grève, mais ailleurs à jouer à autre chose.

Bien que le jeu (stratégique) est à l'origine de la guerre, celui de la compétition, les autres jeux, ceux de hasard, de simulacre et de vertige (qui en Occident sont inclus dans la compétition : voir par exemple le comportement des acteurs face aux médias, ou la loterie pour entretenir l'espoir de libération des esclaves, ou se divertir de la réalité violente du monde du travail à abuser d'alcool pour se saouler, etc.), la composition musicale au XXe siècle trouve un débouché à l'écriture musicale avec le jeu. C'est la transformation de la partition de musique à lecture linéaire (du passé au futur e l'absence du présent) en lecture matricielle (à plusieurs temporalités en même temps). Le modèle des musiques jeux n'est pas le jeu de compétition guerrier, mais la remise en question du jeu cru en jeu possible de la logique incroyable. Pari et parties initiés par Lewis Carroll grâce à son savoir en logique mathématique qu'il appliqua au récit fantastique. L'idée de jeux aux règles qui changent pendant le jeu ou forment une entité indépendante a été soulignée et enrichie par Gilles Deleuze (Logique du sens). Les compositeurs viennent après. L'amas de règles qui changent et contredisent la valeur crue scellée du motif à jouer donne à créer les premières musiques jeux (non stratégiques) à partir de 1980. *

 

Note
* Le jeu stratégique compétitif comme composition musicale a été initié par Iannis Xenakis avec Duel pour 2 orchestres. Et, on trouve des prémisses du jeu musique avec Plus Minus de Karlheinz Stockhausen (qui est + un exercice de composition pour étudiants qu'un jeu qui entousiasme à y jouer). Partition consultable là.

 

 

1ère dérive

Et puis, il y a (aussi) :

 

Les règles masquées qui gouvernent les sociétés humaines

les Moralisateurs de l'Ordre Mondial Occidental [les MOMOs]

l'Ordre (sic, ?)

l'Ordre Moral [l'OM]

Le pensable :
« il est mal de penser du mal du bien »
« il est mal de penser du bien du mal »
« il est bien de penser du mal du mal »
« il est bien de penser du bien du bien »

Penser n'est pas juger : juger condamne, penser questionne et résout les problèmes.

Ça, c'est impensable :
« il est mal de juger le mal de mal »
« il est mal de juger le bien de bien »
« il est bien de juger le bien de mal »
« il est bien de juger le mal de bien »

« Quand on ne peut pas parler d'une règle dont on ne peut pas parler, on atteint la limite de ce dont on peut parler. »

Comment et par quoi peuvent exister des règles inhibantes qui interdisent d'avoir conscience de l'existence de ces règles ?

Le comportement suggestif « qu'il vaut mieux » obéir (pour notre sécurité = « bien être » sic). Pour annihiler toute mise en cause du système de la gestion sociale des êtres humains : c'est-à-dire leur mise en esclavage dans des enclos (de même langue).

Pourquoi (vouloir) interdire (l'autre) de penser et interdire le fait de penser qu'il est interdit de penser ; de manière à pouvoir affirmer qu'il n'est pas interdit de penser ? Et interdire de penser quoi ? Les pensées et les questions qui anéantissent les dominations telles que :
Dieu est une projection humaine qui en dehors de l'imaginaire humain n'existe pas. Ou. L'autorité du père n'a aucune légitimité.

Toutes les règles fondatrices du comportement social ne servent que la servitude de celles et ceux qui s'y soumettent.

« On a atteint un stade où l'on ne peut pas penser que l'on ne peut pas penser ce à quoi l'on ne peut pas penser. »

« Il y a un impensable non-dit oublié qui
1. interdit de penser
2. interdit de penser qu'il y a une règle interdisant de penser qu'on ne doit pas penser à ne pas penser à certaines choses. »

« Ceux qui s'y soumettent n'ont pas conscience qu'ils n'ont pas conscience (d'obéir à une règle leur interdisant de penser). »

Cette non-conscience offre de « nier qu'ils obéissent à une règle quelconque ». D'affirmer l'opposer et de vivre dans le paradoxe : faire une chose et affirmer faire l'opposer : « si je te bats, c'est pour ton bien ». Vivre dans le paradoxe, le mensonge, à nier l'évidence, crée des conflits intérieurs entre ce qui est su vrai et ce qui est agi à l'opposé.

« On comprend qu'une grande partie des difficultés qu'on rencontre n'est pas due à la complexité du sujet, mais à ses propres inhibitions qui empêchent de comprendre ce qui est évident. »

l'INCULCAGE DE L'INHIBITION

- Où en est-on ?
- Toujours au même point.
- 2 mille ans après !

Quel est ce noeud si serré que nous formons nous-mêmes de manière à ne plus avoir conscience de vivre noués ?
Comment a-t-on pu rendre les évidences indicibles pour ne pas comprendre que nous nous piégeons nous-mêmes ?

Nous sommes toutes et tous à un stade où : « personne ne peut penser de ne pas penser à ce qui n'est pas permis de penser » (R. D. Laing), par contre chacune, chacun « est (croyance crue) libre » de juger le comportement des autres. Jugement qui est cru être de la pensée. Juger n'est pas penser. Penser, c'est poser des questions qui révèlent des réponses de ce qui est incompréhensible pour être comprises. Mais tout ce qui est incompréhensible (inconnaissable) est jugé « contre nature » (sic). L'idée reçue de « la contre nature » est l'interdit le + puissant jamais suggéré à des êtres humains vivants (à se similariser) en sociétés. Être jugé contre-nature génère une souffrance pire que la désobéissance, nécessaire aux règles (qui les justifient). Un être contre-nature ne sera jamais intégré dans aucune société humaine. C'est l'instauration puis la conviction de « la contre nature » qui a fait aux êtres humains de construire les institutions d'enfermement et d'isolement tels : les prisons, les hôpitaux psychiatriques, les écoles ; ces lieux destinés aux êtres « inhumains » = « contre nature » (humains) qui sont des institutions de « normalisation » (et de redressement, de rééducation) au modèle retenu de l'obéissance (M. Foucault) qui se désobéit (pour clamer l'interdit).

« La croyance de la vérité » est une inculcation si profonde (= inconsciente de l'inconscience = oubli oublié) qui en effet convainc des milliards d'êtres humains à être gouvernés, surtout les semi-intellectuels (celles et ceux qui jugent en surface et croient, sont persuadés avoir compris) portant et diffusant la parole mensongère (à convaincre) dans les milieux dominants par la propagande (= la presse, la publicité, les médias, et tout ce qui s'y attachent, telles les « associations de bienfaisance », ou l'urbanisme, etc.) destinée aux masses au travail (pourtant en état hypnotique infantile).

Il faut vraiment creuser et creuser en profondeur pour prendre conscience que nous sommes vécus par des stéréotypes suggérés (= exactement obéis) : telles les idées, tels les mots, tel le jargon de la langue, tels les comportements, les attitudes, etc., qui donnent la manière d'être agi, d’être parlé et d'être pensé par le contre-sens et l'incohérence. Cette possession de soi par l'ensemble des autres inexistants (qu'en tant qu'idée) débute par l'obéissance exigée des enfants dans la famille. L'obéissance, contrairement à épanouir l'être humain, le fait périr. Fait périr son intelligence par ne plus avoir de choix. Et, pour supporter cet état intolérable de subordination, on se convainc, par la suggestion de son entourage, qu'on est libre d'obéir ou pas. Bien que « pour son bien », il « vaut mieux » obéir. L'enfant se mettra-t-il en péril de désobéir ? Il va tenter, car il doit connaître les limites infranchissables. La limite franchie, il sera puni. Et + il récidivera, + la sentence sera pénible. Si la peine de mort a été supprimée, ce n'est pas pour l'immoralité de l'État assassin, c'est parce qu'un mort ne souffre plus. Et pour un régime de domination autoritaire (= qui exige l'obéissance), la souffrance de la désobéissance doit être exemplaire : vue et ressentie par les autres pour ne plus désobéir tout en provoquant la désobéissance pour justifier les règles, les lois, jusqu'à la violence de la police, des hôpitaux psychiatriques et des prisons. Nous vivons dans un régime de terreur, qui est nié avec le sourire, des faux gentils dominants, construit sur un ensemble de contradictions qui perdent les esprits qui veulent comprendre dans l'incompréhensible interdit : « pour obéir aux règles, il faut qu'elles soient violées » (R. D. Laing) est la perversion de la fausse liberté crue de l'être obéissant : « ne pas être conscient de la règle interdisant d'être conscient ». Les dépressions ? Elles informent que quelque chose ne va pas, mais, on ne sait plus quoi, tellement notre quotidien est empêtré dans les contradictions de la croyance à ne pas être soi.

Comment détecter sa croyance ? Au fond, nous savons toutes et tous : quand on se ment à soi-même : le mensonge crée le malêtre (l'angoisse, les dépressions, les maladies, etc.), mais pour franchir le pas à nier l'évidence, il faut reconnaître que son malaise est vrai. Et, de ce malaise va naître une question. Qui est le début de la suite de questions qui va au fur et à mesure dévoiler la réalité. C'est un chemin individuel propre à chacune et chacun et long qui ne doit en aucun cas être dirigé (imposé) par un autre (politiciens, psychanalystes, parents, religieux, médecins, professeurs, etc.) = une autorité qui a la fonction de diriger par le courant de la pensée (dominante) vers l'obéissance.

...

au suivant

 

3e service des erreurs

ERREUR ?

 

L'erreur, les règles et le reste

« Dire de ce qui est qu'il est, ou de ce qui n'est pas qu'il n'est pas, c'est dire vrai ;
dire de ce qui n'est pas qu'il est ou de ce qui est qu'il n'est pas, c'est dire faux. » d'Aristote.
Simplifiable sans altérer le sens en : « Parler de ce qui existe (ou : ne pas parler de ce qui n'existe pas), c'est parler-vrai (= la parrêsia *). Affirmer ce qui n'existe pas, c'est mentir ».

Mais bien avant Aristote, il existe le paradoxe su du menteur qui fait sonner l'affirmation d'Aristote comme une découverte de collégien. Le paradoxe du menteur est énoncé par Eubulide au VIe siècle av. J.-C. : « on demande à un menteur s'il ment, s'il répond : oui : il dit vrai, il ment. S'il répond : non : il ment, il dit vrai ». Dans les 2 cas les réponses sont contradictoires. [lire le développement ici : http://centrebombe.org/livre/1.0.html]

« Si nous ne cherchions pas la vérité, nous ne nous soucierions pas de nos erreurs. » Cet énoncé est faux ou faussé, car la vérité n'est pas le contraire complémentaire de l'erreur, mais du mensonge. Et, l'erreur n'est pas de mentir, mais d'inobéir (mot inconnu signifiant : désobéir inconsciemment) considérée pour un raté, à ne pas savoir/pouvoir agir la règle imposée (du contexte artificiel = moral ou naturel = existentiel). L'exactitude est préconçue pour être imposée à l'erreur.

Pour quoi parler pour mentir ? Pour tromper les autres (naïfs : celles et ceux considérant la parole vraie a priori, ou dire pour dire pas pour inter-dire à mentir = dire qu'elle n'a pas le droit de faire ça et incomprendre la parole vraie comme une erreur).

Erreur et mensonge ne sont pas confondables. Une erreur est involontaire **. Le mensonge est volontaire : ce pour obtenir quelque chose de ses auditeurs. Le mensonge est un acte de simulacre, pour obtenir un avantage.

« Il ne peut y avoir erreur que là où il y a prétention à la vérité. » Énoncé faux qu'on remplace par : « L'erreur existe là où il y a volonté de faire obéir » autrement dit : « L'erreur existe là où il y a éducation » ; « et dressage en vue de domestication (= servitude) ». Utiliser le mot « prétention » est un tour de passe-passe sémantique pour signifier « qu'uniquement les prétentieux recherchent la vérité » (pour ne pas la rechercher pour savoir) ou, comment mépriser celles et ceux qui ne se font pas duper par le mensonge.

La notion d'erreur fait poser à l'intellectuel la question suivante : « comment savoir que le savoir est vrai ? » ou mal dit ainsi « à quelles conditions la connaissance sensible – ou perception – est-elle fiable ? à quelles conditions le savoir scientifique – expérimental et théorique – est-il, lui aussi, testable et fiable ? » La réponse à cette question est simplissime : le savoir est vrai quand ça fonctionne. Le mensonge fonctionne, donc il est vrai.

Mais : « Le lieu privilégié de l'erreur est la science » pour dire : la mesure avec le calcul. La science existe par mesurer, calculer et classer. Pour comprendre dans quoi on est ? Pour imposer un modèle de figuration du réel à tous. Mais dit Gaston Bachelard : la vérité de la science [la sienne] est toujours une « erreur rectifiée ». Ou le calcul scientifique est une approximation construite sur une fondation logique indéniable du monde quantifié qui doit être considérée comme telle, nommée : « axiomes *** ».

Mais la question qui questionne sans réponse depuis Montaigne : « comment être certain que nos sens perçoivent les choses telles qu'elles sont ? » et « comment être certain que les impressions ne varient que faiblement d'un homme à l'autre ? » Les réponses résident toujours dans les questions. Car à poser le sens inverse : comment être incertain que nos sens ne perçoivent pas les choses telles qu'elles sont et pour qui ? révèle le désire de similarisation et de répétition du même dans un monde de différences : 1 même sens pour tous, et, dans l'autre sens : redouter les différences en variance permanente imprévisibles. La science est une pratique divinatoire à base de calcul pour retrouver le même dans les flots des flux des différences. Pour quoi alors vouloir similariser la perception de différents individus ? Ah aaah. Pour donner à prédire afin de pouvoir les gouverner. La prédiction joue dans le domaine du futur incertifiable (avec un passé irreproductible pour causes réelles disparues). Tout se base sur la croyance et sa conviction, tel que l'axiome d'un temps linéaire indépendant des phénomènes « qu'il commande » (sic). La conception monotemporale du temps rejoint la croyance monothéiste du souverain unique (tenue par la monogamie pour la propriété des enfants).

Mais, l'intellectuel va mettre en doute ses propres organes des sens (même sans faire l'expérience de psychotropes), car il sait que la projection de ses désirs insatisfaits produit une illusion de sa réalité. Il l'énonce ainsi : « Quel remède proposer pour limiter les erreurs des sens ? » Signifie qu'il est convaincu que ses sens font des erreurs. Si les organes des sens "font des erreurs", c'est qu'il met en doute leur fonction, et, à douter de ses capacités organiques fait douter "de la nécessité de son corps à exister dans la nature" (sic) ce qui n'a pas de sens : "autant se suicider". S'ik y a des erreurs de direction (déviations), c'est qu'il considère la vérité unique. C'est là, exactement, où il perd le sens, pour ce qu'il croit. Pourquoi la vérité serait ou devrait être unique ? Pourquoi refuser d'admettre que la vérité est multiple ? C'est la croyance et le désir de conviction qui créent l'illusion, et non l'erreur de perception sensorielle. La perception fonctionne telle qu'elle est donnée à traduire par encodages successifs les excitations perçes. Sans aucun jugement de bien ou mal fonctionner en fonction du désir de perception voulu. Vouloir la vérité, c'est désirer qu'un dogme unique s'applique à tous les phénomènes perçus (crus illusoires). Ce qui est illusoire, c'est la volonté idéologique d'exiger la similitude (calculable et compétitionnable) dans notre contexte vital de différences.

Il est alors facile d'admettre que « l'erreur est plus facile à comprendre que la réalité », « car l'erreur existe par des écarts de différences » [de ce qui doit être reproduit avec exactitude dictée par les règles morales et les lois dont leur fonction est d'asservir le savoir], alors que la réalité est un amas de différences différentes sans permanence et inassouvissables qui s'échappent toujours à la prédiction (ce qui fait des prophètes politiques et devins religieux des menteurs). Il n'existe pas de lois immuables « qui régissent l'univers » (sic) et tout ce qui vit dedans. Dans le cas contraire, la vie serait une mauvaise plaisanterie facile à vivre (sans surprises) et donc fade à vivre. Mais ce n'est pas le cas. Si tout le monde se trompe, c'est que tout le monde croit avoir raison. Avoir raison est un instrument de domination autoritaire envers les autres « qui doivent suivre le maître » (sic) et qui ne comprennent pas ce que j'écris. Il nous reste à rester vigilants à ne pas se faire tromper (par soi-même à confondre l'objet de son désir et la réalité avec l'exactitude inexacte ou l'inexactitude exacte).

L'erreur existe par l'affirmation de principes (règles puis lois). Autrement, l'erreur n'existe pas.
Pourtant, à observer et vivre le réel, il n'existe aucun principe,
que des adaptations à des contextes changeant de différentes circonstances.

Ce qui implique que l'erreur est une notion opportune
instituée par désir d'une domination autoritaire du viol
pour humilier par châtiment les enfants en apprentissage
afin de les soumettre par la force à la conviction
pour les asservir définitivement à leur domestication.

 

Notes

* Nom donné à la parole vraie courageuse antique, rappelé par Michel Foucault « Le courage de la vérité » cours au Collège de France, 1984.

** « Le sens de l’adjectif involontaire est implicite dans la définition du mot erreur, ce qui rend cette formulation redondante. » Confirme le sens su involontaire de l'erreur.

*** L'axiomatique est la base théorique pour l'emploi d'admettre ce qui est considéré à être vrai (qui doit être vrai sans doute ni requestionnement) : « énoncé admis par tout le monde », « fait accepté comme vrai sans preuve ni démonstration », « vérité indémontrable », « fait qui s’impose avec évidence ». L'axiome doit être général, total et « solide », si non, toutes les théories construites sur l'axiome mis en doute s'effondrent. L'axiomatique est la source de la croyance, car elle ne résiste pas au questionnement. Évidence ? = visible de loin, « d’une certitude absolue », « qui s’impose à l’esprit » : n'est-ce pas une illusion ? Sachant que la vision est l'organe des sens favorable à se faire tromper par les mirages (du latin « mirare » = regarder avec attention, sic pour être trompé) ? Mais il y a + : où le calcul n'est plus apte a différencier la croyance du savoir scientifique (pourtant mis en doute) : « c'est l'idéal d'une vision unitaire et scientifique du monde » (sic). La science s'enfonce encore + dans la croyance quand elle affirme : « les mathématiques tirent leur place dominante du fait même que Dieu a créé ou ordonné le monde selon le nombre, le poids et la mesure » (sic). Cette référence à Dieu (de di = le jour) est une confirmation de l'abdication de la pensée ou l'abdication à vouloir comprendre qui est la raison d'exister du savoir (mais pas de la connaissance qui ne fait que connaître sans savoir). Cette référence à Dieu pour fonder l'axiomatique, « bien que Friedrich Nietzsche démontre qu'il s'agit d'une falsification du réel », révèle que l'exploration scientifique est motivée par l'idée préconçue d'un idéal irréel, celui de trouver : « l'ordre réel de l'univers ». La pensée de l'ordre, par assimilarisation des différences, est une imposition de « sa vision » du monde qui n'est pas différente de celle des prophètes. « Personne qui annonce l’avenir qui prétend parler au nom de Dieu pour faire connaître son message au peuple des croyants ». Où le savant est un croyant. Prophètes et scientifiques, comme tout le monde, utilisent leur imagination pour résoudre leurs problèmes. L'image-signe s'imprimant dans l'esprit pour être perçue puis sue. N'a aucune valeur d'universalité, ni de généralité, mais est une particularité, une solution possible au problème posé à résoudre.

Notons que le mathématicien Kurt Gödel (1906 - 1978) a remis en question l'axiomatique en posant sa théorie d'incomplétude ou de l'insaturation : il y a saturation si l'adjonction d'un nouvel axiome à l'intérieur d'une axiomatique donnée rend celle-ci contradictoire. Comment s'en sortir ? Éviter les questions de sens constitutionnel et ne se consacrer qu'aux détails des « problèmes techniques du système automatique » : la robotique (= la machinisation de l'esclave).

Et, il y a + : l'axiomatique fondatrice de la croyance produit ses conséquences : tel s'enthousiasmer à croire que la science est la source de notre progrès (lequel ?) « du développement industriel, des découvertes biologiques et médicales, de la transformation des sociétés humaines », sonne aujourd'hui au XXIe comme une mauvaise plaisanterie. L'industrie de l'esclavage et sa robotisation, l'institution des sociétés de contrôles, des régimes économiques et politiques de dictatures qui s'emploient à domestiquer les êtres humains depuis 5000 ans au labeur de l'agriculture, de l'industrie et des emplois serviles artisan et, réaliser l'automatisation de leur servitude à supprimer par la violence toute liberté d'exister ; un savoir médical se croyant invincible, pourtant, généralement incompétent, car soutenu/corrompu par une industrie pharmaceutique et gouvernementale qu'intéressées à développer leur chiffre d'affaires qui pour ça maintiennent les malades malades en convalescence permanente pour demeurer « des sacs à médocs permanents », montre que l'ignorance dans le monde savant est aussi grande, voire +, que dans le monde classé des ignorants.

et en suite ?

...

 

 

Fonctionnement des règles dans la musique jeu du XXIe siècle en suite et développement de la forme ouverte du XXe siècle

 

 

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