TESTAMENT

du compositeur mystère myster (my star?) mathius shadow-sky
en pleine possession de ses facultés raisonnables de décision
lègue une création considérable inachevable

 

Le TESTAMENT
sert de
TEST AIMANT

 

La mort de l'accident ? [1]

La mort accidentelle ? imprévue
Ça n'existe pas.
Sinon, ça signifierait que
La vie se trompe.
Et si la vie se trompe,
Ça signifie que nous sommes :
Des erreurs.
Sommes-nous des erreurs ?
Sans doute des errants

L'erreur du vivant ?
Tiens tiens, hum, quelle belle idée !

Se chagriner, se peiner de la mort, ça sert à quoi ? à se vider.
La tristesse n'est pas provoquée par la séparation,
mais, par le Manque.
Ce Manque qu'on cultive par capitaliser la Peur.
L'heure (pas l'erreur) de la mort arrive quand elle arrive.
C'est le temps de la coïncidence !
Le point con dit vergeant en phase de la mort-vie/vie-mort
Qui nous emmène
Ailleurs
1 par 1
Dans un monde de boues de poussières.

Ce Viedâge est Donc le moment de se Remplir
De Joie
Et
De ce que tu voudras.
Quitter cette mauvaise blague à vivre l'espèce humaine
Par une Danse Frénétique de Boues de Poussières,
- J'ai composé des musiques pour cette danse -
Car on sait que la poussière du temps avec
La vie est manipulée par le temps.
Le temps qui donne à vivre l'espace,
Pas le contraire, dans
La courte période d'exister.

Merci la vie.
Que je me réjouis de quitter.

 

 

DURANT LE TEMPS DE MA DURÉE DE VIE
UNE HOSTILITÉ PARTICULIÈREMENT ÉLEVÉE ENVERS LES ARTISTES [LES VRAIS]
EST CULTIVÉE INTENSIVEMENT PAR LES POLITICIENS POUR EFFACER LES ARTS DES SOCIÉTÉS HUMAINES.
LA RAISON ? JE LA RÉVÈLE DANS LE LIVRE : VIVRE l'Espèce Humaine.
Les tromperies politiques du sens des mots de vivre pour agir contre le bon sens doivent pour régner sur les autres, accumuler les malfaisances. Un règne est incompatible avec la paix. Pour régner, le politique entretient la guerre pour créer la désolation : que tous les gouvernants cultivent. La désolation des humains prouve l'existence du pouvoir politique, le contraire ? son absence. Exemple mineur de manipulation par la contradiction : affirmer vouloir réduire les accidents (de la route) est un non-sens. L'accident est une coïncidence du hasard qui ne peut pas être éradiqué. Vouloir supprimer le hasard de la vie sociale revient en réalité à créer un ordre social autoritaire, autrement dit une dictature. * Le sens de catastrophe pour « accident de la circulation » date du XVIIIe siècle. Le sens philosophique d'Aristote oppose l'accident à l'essence ou le fortuit à l'essentiel de la substance. C'est son sens premier et majeur : « qui arrive par hasard ». La part catastrophiste ajoutée au mot a servi à instaurer une politique fondée sur la terreur pour favoriser la permanence du règne par le racket des états d'esprit pour qu'ils payent leur séjour terrien (t'es rien ?).

The strong scorn and censorship against my music during my life time made that neither French nor American institution commissionned me a work, never. And further more, forbid me to create all the extra-ordinary music I conceived and wrote since 1979 in several music scores and projects. Neither any support from any university to develop the evolution of the Western music theory I did with the Scalar Fields Theory (Nonoctave too). Neither any support from any institution with means to develop the polytrajectophonic instrumental music I invented in 1980. The debt is huge against a human who dedicated his life to fill others with wonder and knowledge by provoking them to think. Now? Dead: Fuck off.

 

 

Ceci dit, passons à l'essentiel (l'essence ou les sens du ciel de l'ombre) :

 

Un test aimant est un test pour celles et ceux qui m'aiment vraiment après ma mort. Je plaisante : pour celles et ceux à qui mon ouvrage musical sert de point de départ (comme je l'ai fait moi-même avec les oeuvres des ancêtres) pour explorer + loin (sans nuire aux autres). Faire passer aux nouvelles générations les acquis de mes expériences.

 

AMANTE surtout pas religieuse
MES LEGS CONCRÈTEMENT
MY LEGACY IN PRACTICAL TERMS

 

Je lègue un ouvrage ample d'1/2 siècle de persévérance,
constitué de multiples défrichements,
des ouvrages volontairement inachevés,
utilement infinissables par un seul être humain,
sans marque de propriété,
pour être développé,
sans soucis supplémentaires inutiles,
par les nouvelles générations
dans les directions que chacune chacun choisit.

 

. Les formes des flux qui se développent dans nombreuses techniques compositionnelles à concevoir des musiques si différentes
. La théorie de la musique, celle des champs scalaires nonoctaviants qui remplace et inclus l'ancienne pour des harmonies/synthèses polyscalaires
. Le développement de la musique jeu si mal comprise [en guerre avec ses « stratégies théoriques d'annihilation des ennemis » sic aïe]
. L'analyse profonde et honnête de nos sociétés en vibration pour guérir ses individus de la peur qui les gouverne à les faire vivre
. Les manières de faire évoluer la création musicale sans qu'elle puisse est prise en otage par la politique ni l'économique qui propagent la désolation
                en créant de nouveaux instruments de musique (sur la base des nouvelles théories en évolution)
                en créant de nouvelles techniques de jeu instrumental
                en n'abdiquant pas : à se défaire de ses mains et de son souffle sonnant la musique pour se faire gouverner par les machines
. Il y en a tant d'autres qui ne se donnent pas à se lister !

Publiées ici en partie dans le site web du centrebombe.org qui

est le livre libre - qui n'est pas un labyrinthe (= un bâtiment dont il est difficile de trouver la sortie = l'Administration)
où l'inextricable n'est produit que par des états d'esprit limités à ne pas pouvoir penser
par vouloir s'enfermer dans la croyance pour ne plus pouvoir en sortir -

Avec :

.  Presque toutes mes musiques enregistrées
.  Une partie de mes musiques écrites ou inscrites
.  Presque toutes les images (que je me réjouis de créer pour la musique)
   (dont graphiques, photos-montage : toutes des oeuvres exposables en grand format,
   Expositions rarement réalisées pendant ma période de vie.
.  Puis des partitions de musique qui ne partitionnent pas la musique,
.  Des schémas, des tableaux, y en a plein, en bouts complets ou à compléter.
.  Parfois des impasses, telle la conséquence de « la quantification excessive de l'écriture »
   (uniquement jouable par des machines qui n'a aucun intérêt que l'obéissance mécanique)

À l'opposé une intention qui indépendantise ce qui est cru n'exister que synchronisé, l'indépendance asynchrone est génératrice de richesses de différences.
Je tiens particulièrement à l'écriture symbolique, celle qui synthétise et ouvre de vastes champs pour l'invention musicale.
Ici, chez moi, il y en a partout, des écrits, ça et là, manuscrits sur carnets, feuilles volantes, cahiers, etc., électroniques (au format .txt .html, pdf, et autres) :
des messages enregistrés pour les générations motivées par vouloir vivre libre sans la peine artificielle inutile de l'esclavage.
Toutes mes oeuvres pour pouvoir comprendre le piège que nous humains avons créé pour nous capturer et nous enfermer nous-mêmes :
dans l'inhumain de la machine souveraine à servir : humilié par notre peur de vivre.
Tout ça réécrit réenregistré en fichiers numérisés aux formats .txt, .html, .pdf, .aif, .wav, .jpeg, etc.
Tout ça pour quoi ? Pour m'oublier moi et pouvoir être apte à continuer ce que j'ai impulsé à découvrir sans volonté d'achèvement.
La musique n'est pas un objet de vente à consommer puis à chier.
La musique reflète le comportement humain.
La musique est le miroir de notre devenir.

Je lègue un savoir, des moyens à développer (pas le culte de ma personne).

 

 

OUBLIE-MOI
OUBLIEZ-MOI
PAS TOI
L'AUTRE

 

À ma mort
Je ne veux PAS
et en aucun cas :

1  - Pas de cérémonie religieuse, surtout pas !
2  - Pas de crémation ou être crématoirisé par des pompes funèbres municipales ou privées
3  - Ni d'enterrement dans un cimetière de la ville ou du village.
4  - Ni que mon corps soit donné à la médecine des potaches étudiants pour le trafic d'organe.
5  - Ni que mon corps mort soit « pris en charge » par une institution ou une entreprise privée ou publique.

J'insiste.

À ma mort
Je veux :

1  - que mon corps soit enterré en un lieu là où il n'y a pas d'humain : forêt, désert, ailleurs.
2  - Sans plaque, sans nom, sans rien
3  - Au moment de ma mort, là où je serais et, pas ailleurs et,
4  - J'insiste qu'aucune marque ne soit posée pour localiser mon corps mort
      l'enterrement sert à ce qu'il disparaisse dans sa décomposition à alimenter la Terre.

Mais par-dessus tout. Oublie-moi.
Pas Toi, l'Autre.
Celles et ceux et les autres qui m'ont pourri la vie.
Ma vie d'artiste intègre m'a fait vivre la solitude de l'isolement.
Ma vie d'artiste intègre m'a fait vivre l'anonymat de l'étranger redouté
Ma vie d'artiste intègre m'a fait vivre le mépris et la violence
Ma vie d'artiste intègre m'a fait vivre l'oubli volontaire des autres de l'existence de mon oeuvre
Ma vie d'artiste intègre m'a fait vivre une pauvreté indécente
Celle réduite à néant sans moyen à ne pouvoir réaliser la musique polyscalaire polytrajectophonique orchestrale.
L'authenticité se paye de mépris et de haine dans nos sociétés domestiquées volontaires gérées par la violence.

Pour créer des oeuvres d'art invendables inappropriables destinées à tout être humain.
L'anonymat nécessaire pour vivre en paix ?
L'anonymat nécessaire pour ignorer l'oeuvre de l'artiste.
Que le politicien guerroie sans relâche tellement le politicien craint l'artiste.
Si le politicien craint autant l'artiste (intègre et authentique)
C'est que l'artiste a le pouvoir de stopper l'industrie de l'esclavage général.
La raison de l'existence de la politique et du commerce.
Comment ?
Les arts donnent le pouvoir de développer l'intelligence de l'humanité. Que la domestication retire.

Que ma mort soit une Fête de l'Oubli,
Des danses de boues et de poussières
Des musiques des turbulences vibratoires organiques tant redoutées,
Avec tout ce que proscrit l'industrie de l'esclavage généralisé.

M'oublier,
est nécessaire pour ne pas me retenir,
pour me laisser partir,
ailleurs,
loin,
très loin.

Reste mon oeuvre inachevée,
inachevée pour Toi,
pour développer ton oeuvre avec les autres.

 

 

L'humanité durant ma période de vie est sourde                           (assourdie par la suffisance de sa croyance)
L'humanité durant ma période de vie est hostile                            (révélant le dénie de sa souffrance)
L'humanité durant ma période de vie est nuisible                          (à travailler sans relâche contre elle-même)

 

DA CAPO ?
Après 43 années (en 2022) de travail musical permanent remettant en question les fondements de ce qu'on croit être la musique, tout en créant quelques beautés audibles et jouissives, je n'ai pas réussi, selon mon attente, à provoquer l'intérêt suffisant qui m'aurait donné les moyens de réaliser une très grande partie de mes musiques spatio-orchestrales archisoniques ; qui dans le contexte de ma période de vie, se sont avérés inaccessibles causés par ses détenteurs hostiles. La raison ? : principalement les barrages idéologico-politiques et les croyances morales esthétiques du bon et du refus. Les intérêts égoïstes du confort propriétaire de chacun sont prétextes à s'entredéchirer (avec sourire) atteint un degré social d'hostilité très élevé et, l'humanité, durant ma période de vie, est devenue sourde (et aveugle par excès de fixation d'écrans). Pour un compositeur de musiques originales (= qui viennent là, uniques, exister) [2], c'est une situation paradoxale. La musique est créatrice de sympathies, son rejet marque un règne de l'antipathie. Mes musiques n'ont pas pu atteindre le sens de l'ouïe des mélomanes, tous disparus au XXIe siècle. Sens qui est sensé réveiller la sensation de l'extatique vibratoire (= plaisir sans limites percevables). Source de la musique qui se communique par les mouvements vibrés des particules de matières. Base sourde ou assourdie, l'échange public audible par l'imagination avec l'intelligence (aptitude à régler les problèmes) est durant ma période de vie : rompu.

On peut incriminer « le malaise social occidental » qui transforme par l'éducation les uns et les autres en soldats hostiles (= employés obéissants = esclaves qui refusent de penser). Hostilité amplifiée dans les professions qui imposent à croire à un « combat pour sa survie » (sic) ce, à criminaliser les autres ; montre l'état d'esprit de l'occupation majeure des êtres humains occidentaux durant ma période de vie : gagner la guerre et l'entretenir en permanence. Cette guerre circulaire est portée par la bêtise, celle qui recherche la peine à se sentir vivre misérable et humilié, celle qui règne dans la hiérarchie policière armée (armée civile : société qui se fait la guerre à elle-même) d'armes et de procédures administratives, utilisées pour nuire, la torture psychique du chantage monétaire, jusqu'aux assassinats des civils dissimulés en accidents. Soldats, policiers, fonctionnaires et autres serviteurs qui ne pensent pas, qui cherchent le sens de sa vie à se créer des ennemis, servants de la dictature, sont-ce des êtres humains ? oui, aussi.

La musique, science à sa naissance, divertissement à celle de ma fille, est reléguée « aux choses secondaires » (= sans intérêt ; son industrie du disque florissante est aujourd'hui ruinée, ce par l'appât excessif du gain de biens : « les droits d'auteur » et « copyright » volés aux artistes suffisent à la domination des majors qui investissent notre argent volé dans le cinéma). Le reste des autres ? la musique autoproduite dans le péage de la gratuité téléchargeable (au profit des plates-formes à péage indirect et autres). La musique est utilisée comme outil de diversion de la réalité moche, amochée. La musique aujourd'hui ? des « fichiers téléchargeables » prétextes pour vendre du « smartphone » (smart = intelligent ? Son porteur ? Non, se réjouit à se faire agir par son smartphone) et des abonnements d'écoute limitée (dont les bénéfices ne reviennent jamais aux artistes, car les droits et les copyrights de leurs musiques sont majoritairement pillés).

Durant ma période de vie, la musique est restreinte à n'être qu'un accompagnement du visible : une musique sans vidéo, ça n'existe plus. La musique sert de fond (sonore) à se faire croire vivre un (beau) film. Les écouteurs dans la rue (walkman depuis 1980) débranchent l'auditeur de de la réalité (donnée par l'audible) pour vivre un film permanent. Oui, la réalité sociale est moche pour vouloir se débrancher de la réalité. La musique invisible enregistrée sert d'écouteur à vivre « son film », ce au mépris de la réalité d'être ensemble avec les autres. Et les autres ? Apeurés, serviles et humiliés accrochés à la fonction de leur emploi, ne savent plus, se cherchent, se regardent sans pouvoir se (re) connaître, leur image esseulée multipliée (en selfi-mage = help me!) obéissent à l'absurdité.

Le contexte de ma période de vie est étrangement et farouchement hostile à l'ouverture d'esprit. La musique sert aux êtres humains à se mouler, à se conformer, à s'uniformiser massivement dans une attitude de clan assimilarisé pour s'attacher ensemble en tribu à être prêt à attaquer les autres, tellement ses croyants ont peur de vivre leur vie avec les autres. Ces êtres humains craignent et redoutent vivre par eux-mêmes, leur autonomie d'agir ; autrement dit : responsabiliser leurs actes, sans se considérer victime ou innocent. Ces gens forment la masse publique à laquelle les industries s'adressent : l'homogénéisation, l'assimilarisation de la crétinerie formant une masse conditionnée toujours prête à se faire posséder.

Durant ma période de vie, la musique est aussi l'otage des entreprises numériques de communication de (faux) services servant la propagande de leur dictature incitant la normalisation de la surconsommation avec le contrôle globalisé des gestes de tous les individus de la planète (= la globalisation américaine). Tout ça montre l'intensité élevée de l'hostilité régnante entre les êtres humains, masquée du sourire hypocrite du bonheur cru et con-vaincu vivant d'abondance sans faim ni fin.

Voilà ce à quoi je me confronte en permanence (ces murs de bêtise nuisant) pour que la musique que je crée puisse exister.

 

Si je publie ici... [http://centrebombe.org]

Si je publie en html, pdf (le pdf était propriétaire de l'avide Adobe, passé dans le domaine public étant le format de fichier de document portable courant visible de toutes et tous), .txt (le seul format texte sans contrainte, mais sans mise en page, encodé en UTF-8 pour être lisible avec tous les OS), .zip (comme conteneur) et .mp3 (propriétaire, passé dans le domaine public tardivement, plus courant que le format .ogg et les autres dans les lecteurs audio-numériques) sur Internet ; ça, pour que mon oeuvre dans son ensemble soit accessible à toutes et tous sans restriction : ni péage, ni mot de passe, et autres clés ou codes à décoder qui enquiquinent (qui fait devenir le kiki -pour quéquette- petit) soûlent et engluent le monde à payer. LE MONDE DU PÉAGE EST UNE ABERRATION, CELLE VOLONTAIRE DE NUIRE AUX AUTRES PAR LE CHANTAGE. Mon oeuvre n'est pas une propriété privée, elle chante sans chantage, elle est destinée à toutes et à tous, sans péage. L'oeuvre d'un humain pour tous les humains. Elle est donc, même de mon vivant, publique dans le domaine de mon esprit ouvert. Personne ne peut prétendre soudoyer ou prendre en otage quiconque pour accéder à mes ouvrages : personne ne peut rendre l'accès de mes oeuvres inaccessible, au contraire. Cette volonté du contraire prédispose à des sociétés basées sur la générosité, le don sans contrepartie, la gratuité. Et non le péage violemment exigé par la peur de manquer pour former le comportement de la radinerie de la rapinerie et autres activités de l'avidité et de l'avarice = la terreur pathogène de manquer. La musique, au contraire de diviser en clans et en tribus pour s'agresser, sert à lier les êtres humains en créant  la sympathie vibratoire. La musique existe pour rappeler en permanence l'existence de la sympathie. Sans elle, notre espèce efface sa raison d'être.

 

Musique philosophique ?

Mon apport à la musique et à la philosophie est d'ouvrir des portes et de les laisser ouvertes, voire de les retirer pour qu'il n'y est plus de portes à fermer. C'est le principe de l'ouverture d'esprit. Sans peur (on vit très bien, sans ego encore mieux) (car sans ego, il n'y a plus rien à meurtrir en soi). L'ouverture d'esprit alimente l'intelligence qui fermé l'en empêche. Ce que l'organisation de nos sociétés dominées s'efforce en imposant le contraire : la culture de la bêtise pour gouverner les humains devenus bétail abêti. Pourtant à l'opposé de « vies merdiques », il y a des « vies magnifiques » qui s'alimentent d'intelligence et de tolérance. Il n'y a pas d'autre choix pour esquiver sa bêtise qui provoque la peine. Rien qu'en disant : bêtise intolérance et violence ; on imagine bien « la vie merdique » vécue ; amplifiée de sa victimisation, de son sentiment de culpabilité, du piège économique du chantage de l'esclavage, de la domination autoritaire et autres tortures sociales banalisées qui se retrouvent jusqu'au sein des familles mises en danger. Tout ça, entretenu par l'ignorance et la croyance, avec en face (en soi), frontalement, l'hypocrisie de l'escroquerie (= nuire aux autres) qui ne vit que de larcins officialisés, maquillés en comportement moral normalisé. La mesquinerie ne sied pas à la musique, ni à l'art en général. La mesquinerie est pourtant le moteur de nos sociétés moralisées.

 

Ouvrir des portes et les laisser ouvertes

Si mes ouvrages ouvrent les portes et les laissent ouvertes, c'est aussi, pour te dire que le travail entamé est trop vaste pour un seul homme. Les expériences historiques d'ouvrages colossaux rédigés par un seul auteur « finissent mal en général » (et ceux, rédigés par plusieurs anonymes qui durent trop longtemps aussi), détournées, trahies, banalisées et oubliées ou mal intégrées pour donner des justifications à l'agression et des idées de stratégies agressives de domination. Ce qui pour la compréhension et la vie de nos vies est profondément regrettable. L'ouvrage inachevé permet à ce que d'autres s'en emparent, en créant différentes voies et différents courants pour diversifier + et avoir encore + de choix différents jusqu'à pouvoir oublier sa source. Je laisse beaucoup de questions, des techniques entamées et non développées à cause du contexte hostile à l'ouverture d'esprit de la musique dans lequel j'ai vécu ma tranche de vie de compositeur-musicien-pensant.

 

Je pense entre autres aux  

. Champs scalaires nonoctaviants sont des ouvertures qui brisent le cycle de l'horaire unique pour tous, pour aller entendre ailleurs les multiplicités cachées par l'écran du « cycle infernal de la hiérarchie autoritaire » de l'unicité qui cultive la croyance des autres à son servage (= le conflit). Les champs scalaires nonoctaviant offrent la prise de conscience que d'autres existent, d'autres qu'on n'entend pas par assimilarisation du réel ou toutes les différences sonnent pareils (ou faussent). Les champs scalaires nonoctaviants en + d'enrichir la théorie de la musique à multiplier ses possibles, ouvrent les esprits à entendre ce qu'on refuse d'entendre.

. Musiques spatiales trajectophoniques et polytrajectophoniques pour réaliser les choréosoniques, inindustrialisables (= instandardisables) dans le commerce pour sa fausse rareté que des entreprises avec « ses chercheurs attachés » (sic) forcent à des encodages standards inutiles et ratés depuis les années 70 du XXe siècle, dont le « surround » ou « l'immersion » restent des escroqueries commerciales à centralisation monophonique standardisée, à « encercler » pour assiéger l'auditeur-spectateur fixé en face d'un écran ou la tête dans un casquécran à s'éblouir d'illusions, comme si le réel était moins bien que sa copie saturée. « Ah mais le réel est ingouvernable, alors que le virtuel l'est ! » (sic). Ce pour un assiègement du consommateur qui obéit d'instinct, grâce au conditionnement social parent-école qu'il et elle a reçu de son enfance. Tout ça, n'a rien à voir avec la musique spatiale qui elle, libère les mouvements (y compris celui de l'auditeur) dans l'espace, à les rendre uniques de différences. En + de rendre compréhensible ce qui en monophonie ou stéréophonie ne l'est pas. La polytrajectophonie est la réalisation de la polysonie à multiples trajectoires spatiales là et là-bas en même temps qui donne à la perception humaine la possibilité de faire évoluer sa compréhension d'ensembles de différences inconnues en mouvement.

. Écritures Ondales turbulentes qui après Iannis Xenakis n'ont pas trouvé un environnement favorable à son épanouissement orchestral. L'écriture Ondale favorise la perception sonore de la vitesse et physique quand ces musiques sont trajectophonisées dans l'espace du corps des auditeurs.trices. L'écriture ondale initie L'ÉCRITURE SYMBOLIQUE, sa phase suivante. L'écriture symbolique synthétise en un graphique simplifié toute la complexité de la musique désirée être entendue. Le pouvoir de suggestion de l'écriture symbolique fait qu'une idée musicale est immédiatement comprise pour être jouée dans l'instant par l'orchestre.

. La Langue des Lignes LLL qui découvre un grand nombre de formes d'accords inutilisés dans la musique. Des accords tels des syllabes à joindre pour former des suites de directions où dans chaque accord réside l'attachement avec le détachement et la position à distance qui ensemble se mêlent pour se comprendre, non en désastre, mais en un ça qui est (sans jugement de victimisation de dépossession ou de justification de possession génératrice de peines inutiles à vivre). La langue des lignes peut servir d'alphabet à l'écriture symbolique.

. L'écriture PPOV (= Pression Position Orientation Vitesse) développée dans l'écriture gestuelle (= tablature) pour la musique de : « Il m'est impossible de donner un titre à ce phénomène, car l'indicible au-delà des bords extrêmes de l'espace et du temps ne porte pas de nom » pour guitare classique couchée et bâton colophané, en 1983.

. Toucher la base constituante de l'intention musicale compositionnelle est essentielle pour comprendre ce à quoi on joue. La synthèse constituante de la base réfléchie de la musique, il a fallu la poser pour générer la multitude de techniques compositionnelles qui s'y attachent. PPOV n'est pas seule, il y a FAT la triade fréquence amplitude temps, et la conception élémentaire (à taire ?) de l'écriture musicale dans les états d'esprit occidentalisés : DIPT durée intensité pitch timbre. Il fallait trouver des solutions aux impasses innombrables qui se présentaient dans le monde de la musique occidentale à la fin du XXe siècle. Toutes ces bases compositionnelles, je les ai rassemblés sous l'intitulé : Les Affaires Digitales ou Les Moyens Comptables ou Les Affaire Qui Comptent, en anglais : Digital Matter [résumés ici].

. Orchestres symphoniques transculturels transgénérationnels transclasses, à + de 100 musiciennes et musiciens créés en 1996 puis 1997 dont la filiation mondiale des Trans-Cultural Syn-phônê Orchestra a été dans chaque pays interdite et qui n'ont pas pu faire évoluer la musique abstraite massive spatiale par absence de disponibilité, de compréhension, d'intérêt des musiciennes et musiciens, de financements, de censures des communautés pour empêcher de concurrencer les orchestres classiques (sic) avec une présence certaine de ma tristesse. Ce avec les grands orchestres de joueurs d'objets mélangés à tous les autres instruments de musique, non encore réalisés depuis 1980.

. Musique-jeux (pour une musique non-ordonnante) est la solution que j'ai trouvée pour cesser la fausse querelle entre déterminisme et indéterminisme à partir des années 1980 où les partitions-jeu (ensembles asystémiques de signes interactifs de propositions ludiques de musique, + proche de Lewis Carroll et Gilles Deleuze que de la stratégie militaire guerrière) sont le générateur musical à jouer seul ou ensemble pour vivre un « excellent moment » hors de l'exécution (pour le prix d'un salaire). Tout en démontant toutes les fausses croyances attachées à la musique et aux activités de l'espèce humaine entachées de morale dominatoire qui se manifeste dans l'indignation des Oh et des Ah outrés de médisances (con-vaincues légitimes par le règne forcé de la morale institutionnalisée), renchéries par les médias rapporteurs de spectacles dévastatueurs détournés de leur sens local pour une exploitation nationale (pour se divertir du meurtre et de l'assassinat) mise à la portée du commérage, avec « le visage sérieux de l'innocence » (coupable de cultiver la propagande de croyances). Je sais, il y a de quoi avoir honte, d'être un être humain d'ici. La musique n'est pas une ordonnance, mais une proposition ludique à disposer de sa sensibilité de son intelligence et de sa dextérité, ce du soliste à l'orchestre d'une centaine musiciennes ou +.

. Objets-instrument-de-musique, dont la lampe d'architecte est devenue la Lampe Archisonique. Mais qui inclut aussi le simple caillou dans la collection des instruments de l'orchestre. L'instrument de musique n'est pas l'oeuvre de l'objet, mais celle du musicien. C'est le musicien qui donne à l'objet le fait de sonner (bien que le contraire soit profondément cru et con-vaincu). L'instrument de musique objet, ouvre la perspective de l'anti-fétichisme instrumental, celui des salles de vente aux coûts survalorisés par les non-musiciens à ce que les instruments de musique deviennent inaccessibles aux musiciens (conséquence de l'esprit du capital, de celui qui est terrorisé à manquer en empêchant les autres de jouir de l'objet). Un instrument de musique est mort quand il ne vibre plus.

...

 

et à

ma résistance contre :

La musique mécanisée, banalisée, bêtifiée par les esprits machines machinés emmachinés qui abdiquent leur humanité
(exécuté par les codeurs frustrés qui vengent leur frustration à gouverner les autres dissimulés et par procuration en in-scrivant l'algorithme-piège à obéir dans le programme),
Les croyances con-vaincus, sachant que la croyance est la dégradation pathologique de la pensée,
La médiocratie banalisée dans l'institution du savoir illusoire,
La morale faussée éduquée de l'opinion publique con-vaincue,
La décadence de l'originalité (génératrice de différences) = la criminalisation de la différence,
La décadence de l'ouverture d'esprit (génératrice de compréhensions) = le refus de vouloir comprendre,
La décadence de la tolérance (génératrice de paix) = tous éduqués à cultiver la guerre permanente,
La décadence de l'intelligence générale (génératrice de savoir et savoir faire) = refus de quitter l'infantilisme irresponsable se victimisant pour agir l'innocence assassine,
...

 

 

Pourquoi avoir choisi, comme activité de vie, la création de musiques ?

 

Composer et l'harmonie (syn-thèse, proposons ensemble), leur sens d'origine non détourné, signifie : assembler (sous-entendu : les différences). La composition musicale est une excellente activité pour/de l'audible pour détecter les (fausses) croyances de la morale et de la culture (des êtres humains agis agissants). La musique révèle l'état de l'humanité. Par son vibratoire (syn- relie tout à tout dans l'audible -phônê). Le diagnostic (capacité de discernement) passe par sa sonorité. Telle ou telle sonorité dévoile tel penchant. Quand la musique propose quelque chose de différent et que cette différence est inacceptée, socialement inacceptable, c'est à ce moment qu'il faut se soucier de l'état de santé de cette société humaine et trouver les moyens de la guérir. La musique est une médecine vibratoire de sociétés qui a été conçue et existe pour cette raison (sinon la musique n'existerait pas, nulle part). Mon retrait volontaire du monde musical des sociétés de musique officielles est devenu nécessaire, car le monde des sociétés de musique est lui-même malade, c'est pour ça que ses compositeurs ne peuvent plus guérir nos sociétés malades. Le monde des sociétés de musique ne sait plus assembler, mais imite l'hostilité du monde économique en guerre. Il confond harmonie et obéissance. Puisque le monde des hommes (et des femmes homminisées) dominants est devenu sourd ; pour guérir le monde, de la musique, j'appelle une autre façon indépendante d'agir la musique, dont l'approfondissement du vibratoire pensé en solitaire fait partie.

Au XXe siècle, de la fin des années 50 jusqu'au début des années 70, l'esprit de la musique promettait une ouverture d'esprit qu'aucune autre pratique scientifique et artistique n'avait atteinte. Je parle de musique « savante expérimentale » désignée comme telle et si mal comprise aujourd'hui. En fait : je continue cette tradition entamée par la philosophie antique (celle des présocratiques, des cyniques, d'Aristoxène et des penseurs indépendants bannis par la bêtise politique sociale dominante apeurée). Vouloir comprendre et réaliser ce qui est compréhensible sensible à travers le champ de l'audible de l'entendu vibratoire qui ne traverse pas que les oreilles (et, qui n'a pas, contrairement au langage, de signifié ou de correspondances simplifiées d'un à un) ; est la base de mon activité de compositeur de musique. Et ce champ, il ne s'ouvre que par l'action de la liberté. En pratique constante. Sans liberté, pas de création possible, est un constat que nos sociétés renient et qui crée notre médiocratie.

 

 

L'esprit de mon apport sera-t-il ou pas trahi ?
Le test de l'aimant du testament est là existant pour ça.

 

 

TESTAMENT PUBLIC ET PRIVÉ
MY PUBLIC AND PRIVITE WILL

MES LEGS CONCRÈTEMENT
MY LEGACY IN PRACTICAL TERMS

 

D'abord à ma seule descendance bien sûr : ma fille Solune, mon neveu Alexis, à elle d'en consentir, à tous musiciennes et musiciens seules et regroupées, aux Guitares Volantes, aux Choeurs de Femmes Hurlantes, aux Trans-Cultural Syn-phônê Orchestra, aux théoriciens-musiciens (pas celles et ceux non-musiciens qui n'ont pas goûté au vibratoire instrumental sans réflexion, cet aller-retour nécessaire de la conscience pour comprendre le sens des faits de la réalité sonique), à tous les humains et à tous les groupes et toutes les communautés de biens communs, telle la ville de Toulouse* (ville où j'ai habité une grande partie de ma vie et qui a tant censurée ma musique = empêchée que ma musique existe en public) à laquelle je donne la possibilité de se racheter, ainsi qu'à la SACEM qui nuit à la créativité musicale, à Électricité de France EDF qui vole et violente ses consommateurs, aux institutions qui se désinstituent et à désinstituer pour re-donner aux êtres humains par les arts et les artistes ce qu'il leur a été volé : les moyens de la liberté de vivre les différences des diversités.  Des organisations indépendantes (libre du chantage politique de la subvention), telles : la Maison du Centre des Musiques Spatiales d'Ailleurs à Toulouse* ou ailleurs, The Foundation of the Scalar Fields Music Theory (runs by musicians explorators), le LOIn : Laboratoire d'Ondes Inattendues nomades (atelier de créations musicales originales), le MIM-PG Magasin d'Instruments de Musique de Prêt Gratuit aux musiciens sans restrictions ni conditions et, toutes autres initiatives musicales qui aident à se sortir de la médiocratie rance et forcée en culture intensive actualisée par les esclaves et leurs maîtres terrorisés qui soulagent leurs frustrations à terroriser les autres. Il est temps d'arrêter de fonder et cultiver les sociétés humaines pour s'entre-nuire pour de l'empire qui similarise qui uniformise par peur des différences.

 

01 /PRIVÉ pour PUBLIC
• La personne la + apte, à ma connaissance, pour gérer mes oeuvres = pour qu'elles soient mise à disposition aux générations suivantes qui désirent savoir et sortir de leur captivité est, avec ma fille Solune, Frédéric Acquaviva. Je lui transmets donc de rassembler avec cohérence le savoir que j'ai produit et écrit et enregistré pour une mise à disposition sans restriction, sans péage, pour rendre tout ça facilement accessible à tout être humain étudiant. Où : la véhiculisation des idées en évolution est + importante que la conservation de l'exactitude de l'objet enregistrée.
Wow ! quelle responsabilité !

02 /PRIVÉ
• Je donne à ma fille Solune, bien sûr, aussi à mon neveu Alexis, tous les moyens financiers que génèrent mes oeuvres et tout ce qui ne m'a pas été versé, tous mes dus durant mon vivant pour toutes mes oeuvres créées, réalisées et diffusées et censurées. Ce qui au vu du catalogue est considérable !

03 /SACEM : PRIVÉ pour PUBLIC
La somme de la dette que la SACEM me doit depuis sa rétention de mes droits de compositeur, membre depuis 1980, retenus depuis 1988 par la disposition fondatrice de la SACEM : la rétention de l'argent qui appartient aux artistes. Je considère le dommage immense, car il m'a retiré les possibilités de mes créations publiques de mes musiques. En particulier mes musiques spatiales instrumentales qui demandent des moyens matériels et du savoir. La SACEM agit, par ce fait, la prohibition des oeuvres originales. Le montant dû de sa dette envers la musique spatiale est estimé à 1 SMIC actuel mensuel depuis 1988 jusqu'à ma mort. Je précise que toutes mes oeuvres ne sont la propriété de personne, bien que la considération de la partermaternité d'une oeuvre se distingue par son affinité à son auteur (sans autorité) identifié. Cette non-propriété ne retire pas, ce que la société des auteurs SACEM doit en retour de mon travail considérable de créations diffusées impayées, dont ma fille Solune (en mon absence) jouira aussi de ces bénéfices. Ce dû n'est pas discutable, il est dû. Cette dette de la SACEM n'est pas discutable, elle est due. La SACEM a accumulé une dette considérable envers la création musicale originale et à ne pas me verser mes droits de compositeur depuis 1988 et doit s'en libérer. Pour ça : cette somme et les suivantes doivent financer : le studio des musiques spatiales instrumentales, le salon des musiques spatiales instrumentales, les orchestres électriques spatiaux tels : Les Guitares Volantes et autres initiatives dans le même sens. La recherche et la construction des instruments et équipements audio pour la musique spatiale, etc. Ensemble à la Maison des Musiques Spatiales d'Ailleurs.

04 /PUBLIC
• Tous les moyens publics dus au compositeur (c'est bien moi), libérés post mortem, servent aussi à faire exister les organisations musicales nécessaires à l'épanouissement des musiques originales, tant prohibées durant mon temps de vie = studios des musiques spatiales, orchestres électriques spatiaux, les Magasins de Prêts Gratuits d'Instruments de Musique, la recherche théorique et la lutherie pour faire exister la Théorie des Champs Scalaires, la création de spatialisateur : de générateurs de trajectoires audio dans l'espace qui de mon temps demeura moribond par insistance d'ignorance volontaire, etc., accessibles à tout demandeur, que le compositeur (c'est bien moi) a initié ou tenté avec ses faibles moyens durant son existence. Il va de soit que ces organisations : studio, salon d'écoute, orchestres, ateliers, etc. ne prendront jamais la forme de l'institution. Aucune hiérarchie, qu'un rassemblement de passionnées qui oeuvrent pour l'originalité de la musique : à générer des diversités et non des copies.

05 /PUBLIC pour PRIVÉ, SACEM encore
J'interdis à la SACEM de s'approprier mes oeuvres pour l'exploitation post-mortem d'un péage du chantage qui interdit les musiques originales inventives d'être entendues. Sauf à payer ce qu'elle m'a volé durant toutes mes années de vie : les moyens de ma création musicale spatiale : estimation faible du dommage à 1 SMIC/mois actuel depuis 1988 (date de cessation du péage de la SACEM de mes droits d'auteur) jusqu'à ma mort et, qui par filiation sont destinés à ma fille Solune et mon neveu Alexis. L'estimation forte dépasse l'existence des droits d'auteur par la suppression de ce chantage qui empêche les artistes, les vrais, de faire entendre leur musique.

06 /PUBLIC : FONDATION ANTI-SACEM
• Je donne à la communauté (laquelle ?) la responsabilité de maintenir la FONDATION ANTI-SACEM pour qu'elle soit gérée par une organisation indépendante qui forme un comité de gardiens constructeurs médiateurs incorruptibles pour maintenir un état des comptes d'auteures sain (= sans racket ni détournements) pour éviter les abus de corruption, de détournement de fonds, de fraude, et à ce que tous les auteures et compositeures puissent recevoir les moyens de leurs créations sans condition, ce, en versant à toutes et tous le minimum requis d'un revenu qui permette d'écrire de la musique sous un toit au chaud avec un ventre pas vide. Et en évitant les disparités extrêmes dans les montants des versements qui relèvent + de l'anachronisme médisant que de prendre soin des auteurs et compositeurs de ce pays.

07 /PUBLIC : La Maison du Centre d'Ailleurs des Musiques Spatiales
• Je donne mon équipement audio et le développement de celui-ci à la Maison des Musiques Spatiales d'Ailleurs (de Toulouse* ou de la ville prête à créer et prendre soin de cet atelier de création des musiques spatiales comme moyen à la musique spatiale de pouvoir évoluer en dehors des dictats commerciaux (en particulier du chantage et des mensonges propagés de la compagnie Dolby) dont mes 7 spatialisateurs Orfeusz et mes 2 spatialisateurs SP1 à réparer et faire évoluer et tout le reste de mon équipement destiné à la polytrajectophonie choréosonique pour la musique vivante (= jouée en temps réel, sic = dans le temps de l'instant) et l'enregistrement audio polytrajectophonique. Cette Maison du Centre d'Ailleurs des Musiques Spatiales localisée dans un bâtiment d'un centre-ville, de Toulouse* ou ailleurs, entretenue en accord par toutes les communautés locales et les mairies : sans que le centre ne devienne jamais une institution, mais un lieu accessible ouvert partagé par tous les compositeurs et musiciens concernés. Son statut n'est pas non plus une association, mais un regroupement de compétences et de passions. La Maison d'Ailleurs rassemble des compositeurs, des inventeurs, des musiciens, etc., dont l'espace pour la polytrajectophonie est leur dada dans le but de créer des oeuvres de musique spatiale inouïes. Le salon convivial que l'institution a toujours interdit. Sans hiérarchie, ni bureaucratie administrative, la maison du centre ne restreint en rien l'accès des artistes en demande de savoir, de création et de moyen, mais s'organise et s'accommode d'un planning de mise à disposition des moyens et de savoir de travail pour développer des musiques polytrajectophoniques pour réaliser la choréosonie de la musique : celle qui danse dans l'espace (sans rien à voir ni re-garder). La Maison du Centre d'Ailleurs des Musiques Spatiales est un atelier de travail, d'échange de connaissances et de convivialités pour inciter la création de musiques spatiales uniques et originales en polytrajectophonie : un outil et rien d'autre destiné aux créateures de musiques choréosoniques. La Maison du Centre d'Ailleurs des Musiques Spatiales est constituée de laboratoires d'essais, d'un salon pour les concerts expérimentaux pouvant accueillir convivialement entre 100 et 200 personnes (pas +), d'un espace convivial d'échanges de savoir : le salon des savoirs, etc. La Maison du Centre d'Ailleurs des Musiques Spatiales est un lieu ouvert non-propriétaire (il n'y a rien à taire dans le propos propre) sans jamais aucune restriction d'initiative, d'assister aux concerts et aux expériences spatiales choréosoniques réalisées par les musiciens-explorateurs-compropositeurs invités à la maison du centre pour être décentralisés. La part de concerts choréosoniques polytrajectophoniques en plein air doit être de loin supérieure aux essais et concerts entre les murs. La musique spatiale a été inventée pour s'épanouir hors murs. Pour ne pas être emmurées par la politique. La maison du centre d'ailleurs est une pépinière de création qui favorise la diversité et non « un centre de domination d'obéissance » (sic) qui instaure la dictature, tels tous les centres pour la musique (?) créés en 1981 et qui perpétuent leur politique de domination à contrarier la création musicale originale, encore + intensément aujourd'hui.

08 /PUBLIC AUX MAIRES DE TOULOUSE
* • Toulouse et l'Art
Ses habitants qui profilent la ville par leur comportement assimilarisé majoritaire représentent une des hontes de l'espèce : celle qui refuse radicalement l'épanouissement de son intelligence. Ça, par refuser porter, reporter, rapporter, comporter un intérêt, si minime soit-il, aux arts (vivants). La curiosité n'est pas une qualité toulousaine. Sans curiosité, pas d'ouverture d'esprit. Un artiste vivant à Toulouse est un être humain inutile. Voire nuisible. Ce qui, en comparaison avec la qualité de vie cultivée par la ville : celle de refuser la sururbanisation des capitales, est : un paradoxe.
Chacun se figure qu'un environnement favorable au bien-être ne peut qu'épanouir les arts des artistes vivants. Toulouse est le contrexemple parfait. Le niveau de culture des Toulousaines et Toulousains à savoir ce que les artistes authentiques produisent est : nul. La Toulousaine et le Toulousain ne portent aucun intérêt à leur savoir, ni même à la curiosité de connaître, toutes classes sociales confondues : des étudiants aux grands bourgeois. Ça ressemble à un désastre d'une humanité méprisée qui se manifeste à ne pouvoir avoir aucune conversation passionnante avec un Toulousain. Pourtant, Toulouse attire les Parisiens à la recherche d'une qualité de vie : moi-même, je me suis fait séduire, sans ne plus pouvoir quitter vraiment la ville. Et, pour aller habiter où ? Berlin ? La ville, crue être le refuge des artistes en Europe ? Est un faux ou un leurre. Rien, à Berlin, comme ailleurs, à New York, Paris ou Londres, etc., ne donne la place aux artistes à pouvoir jouir de leurs oeuvres, rien. Au contraire, la chasse aux artistes pour les transformer en artisans animateurs et décorateurs par la corruption a fonctionné. La chasse aux artistes rebelles a été instaurée depuis l'institution de la « politique culturelle » en 1981 par les Français. Tout, progressivement, depuis une cinquantaine d'années est et a été verrouillé pour que les artistes authentiques ne puissent plus montrer leurs oeuvres originales aux publics. L'artiste, où qu'il soit, est devenu « la sorcière à chasser » pour empêcher que ses oeuvres d'art soient perçues et comprises par le public ; tout en remplaçant les oeuvres par des objets artisanaux ou des mauvaises copies, tous 2 considérés par le public être de l'art (sic).

[consulte mes tentatives sur plusieurs années : à la recherche à Toulouse d'une conciliation entre artistes et politiciens pour épanouir les arts des artistes vivants dans la ville : est un fiasco monumental : les documents rassemblés sont à la bibliothèque du centrebombe]

Maire ou collégiale en poste et en fonction,
Cultiver l'intelligence dans la ville est la raison de l'existence des villes.
Et, il n'y a que les artistes authentiques pour réaliser cet épanouissement.
Ça, c'est mon testament pour Toulouse.

Pensons + profond [3] :

09 /PUBLIC
• Je donne tous mes instruments de musique au Magasin d'Instruments de Musique de Prêt Gratuit sans restrictions (ni abus de rétention) aux orchestres, musiciens et compositeurs : pour un réservoir vivant d'instruments sonnants (avec un atelier de remise en état de vibrer) de la ville prête à créer ces magasins près du Centre des Musiques Spatiales d'Ailleurs. Les MIM-PG, ce n'est pas nouveau, lire ce qu'il est à la page : centrebombe.org/livre/app.05.html. L'apport d'un MIM-PG d'instruments rares et coûteux est indéniable pour la créativité musicale. Les MIM-PG doivent être créés et entretenus par les communautés pour ne pas sombrer dans la décadence par la tentation de la rétention.

10 /PUBLIC
• Je donne mes oeuvres inachevées à toutes celles et ceux qui désirent réaliser d'autres musiques inentendues, en développant les idées sources de mes musiques. Sans restriction ni péage.

11 /PUBLIC
• Je donne mes ouvrages écrits, enregistrés, les miens et ceux des autres (ma collection de livres sur la musique) à la bibliothèque de la Maison des Musiques Spatiales d'Ailleurs, à ce qu'ils soient disponibles gratuitement à toutes et tous et aux autres à la lecture, sans aucune entrave. Aussi, les scanner pour les rendre disponibles gratuitement en ligne sur le site public du centrebombe.org.

12 /PUBLIC SAVOIR
• Je donne mon site web http://centrebombe.org à la communauté de personnes responsables qui le désire, afin que le site soit géré pour être accessible en l'état à tout le monde sans exception, ni exclusion, ni censure, ni inscription, ni péage et toute autre forme hypocrite de soudoiement, barrière à péage dissimulé qui empêchent le savoir d'être su, le savoir de circuler librement (remplacé hypocritement par la connaissance, mensonges du savoir). Je donne aussi la responsabilité d'ouvrir et de gérer le site miroir public http://centrebombe.public.com par la communauté qui le désire afin que chacune et chacun puissent alimenter le savoir musical initié par le compositeur et le développer. Le but de la perpétuation de ses publications est de mettre à disposition sans péage, l'impulsion des travaux initiés par le compositeur pour ouvrir et élargir l'état d'esprit des êtres humains au développement de la musique. Le contenu est en aucun cas appropriable (droits d'auteur = exigence de péage) par quiconque.

13 /PUBLIC
• Je donne Les Guitares Volantes aux Guitares Volantes, à ce que l'orchestre avec son noyau et ses invités puissent développer ce qui n'a pas été fait et réalisé de mon vivant. En résidence permanente à La Maison Centre de Musiques Spatiales d'Ailleurs, avec les autres orchestres. Laurent Avizou peut prendre la main s'il le veut.

14 /PUBLIC
• Je donne Le Choeur de Femmes Hurlantes au choeur de femmes hurlantes, à ce que le choeur développe ce qui a été initié pour renouveler constamment le répertoire sans se lier à un genre ou un style qui l'enfermerait dans un clan ou une chapelle.

15 /PUBLIC
• Je donne le Trans-Cultural Syn-phônê Orchestra de Toulouse et d'ailleurs aux musiciennes et musiciens du Trans-Cultural Syn-phônê Orchestra de Toulouse et d'ailleurs, à ce que l'orchestre développe ce qui a été initié pour renouveler constamment le répertoire et le sens de la musique sans se lier à un genre ou un style qui l'enfermerait dans un clan ou une chapelle. Idem pour l'Anarkhia Symphonic Space Orchestra.

16 /PUBLIC
• Je donne les Champs Scalaires Oc- et Nonoc-taviants à toutes celles et ceux qui désirent développer la théorie en plusieurs théories dans le but pratique que la multiplicité des différences soient entendues dans la musique.

17 /PUBLIC : EDF [dommage public considérable]
• Je donne la raison à Électricité de France de produire et distribuer l'électricité dans l'esprit de Prendre Soin des Autres, et non au contraire, à voler, mettre sous contrôle et persécuter les consommateurs, jusqu'à tuer celles et ceux en difficultés, ce que les agents EDF agissent par leur violence banalisée durant ma période de vie. EDF devra s'acquitter de sa dette, celle d'avoir volé tant de monde pendant si longtemps, par son gouvernement complice, à agir dans l'illégalité des facturations et du reste, sans être jamais soucié par la Justice, démontre que la Justice protège les associations de malfaiteurs du gouvernement. EDF apportera son soutien matériel logistique et financier à l'existence de La Maison du Centre d'Ailleurs des Musiques Spatiales. Tant que la création musicale spatiale existe.

18 /PUBLIC-PRIVÉ : NATION OF AMERICA [public of private damage]
• I give to the American government the duty for an Official Ceremony of Pardon to my daughter Solune for destroying her family by forbidding me to return to the United States from 1999 to 2011, my second country of residence by her birth in Miami the November 14, 1997. While my American citizenship was in the process of being released. I command the Americans to stop their hegemony of violence around the world by not injuring other humans beings. It exists an other way to resolve their huge frustrations.

19 /PRIVÉ : CBS [PRIVATE of public damage]
• During my life time, the billionaire Sumner Redstone, the CBS CEO through LastFM steals my music works (= sells my musics indirectly through adds without my agreement and without sharing its profit). The damage is considered as 1.000.000 dollars, and has to be paid to my daughter.

20 /PRIVÉ : Scribd.com [PRIVATE of public damage]
• During my life time, Scribd.com steals my books (= sells my books indirectly by its toll access without my agreement and without sharing its profit). The damage is considered as 500.000 dollars, and has to be paid to my daughter.

21 /PRIVÉ : Google [PRIVATE of public damage]
• During my life time, Google steals my music works by closing the access it gave to my work to be communicated and published. Also with YouTube. The damage is considered as 1.500.000 dollars, and has to be paid to my daughter.

 

 

Legs ? L'action parasitaire de la vie.
Des mondes indépendants qui se mangent les uns des autres.

 

 

Maison du Centre des Musiques Spatiales d'Ailleurs ?
oui, un centre d'ailleurs, celui du LOIn = Laboratoire des Ondes Inattendues nomade
où tout humain sans restriction peut venir créer des oeuvres musicales spatiales et alimenter le savoir sur la musique et l'humanité

 

 

Notes

[1] Confession en forme de question

On peut comprendre que l'espèce humaine est une bande de crétins nuisibles apparus par hasard et qu'elle pourrait demeurer telle quelle à tourner en rond dans sa bêtise à s'entrenuire. Mais, une petite partie de cette population de crétins nuisibles semble vivre en opposition à cette crétinerie cultivée généralisée. Cette minorité d'êtres humains pense, imagine et crée des oeuvres d'art. Ouaouh ! C'est équivalent à la probabilité d'existence de l'humanité dans l'univers : improbable ! Voilà réellement ce qui pose question. Pourquoi parmi la masse d'humains abrutis par la peur, il existe quelques individus qui savent se servir de leur cervelle ? Qui n'ont pas peur. Peur de quoi en réalité ? Obligatoirement (? pour quoi ? pour rien ?) maltraités par l'autre partie majoritaire qui n'est motivée qu'à vivre de jalousies (par le mépris), de puissance (par le chantage) et de vengeances (par la menace) = qu'à vivre de sa peine qu'elle cultive en boucle. Vivre à faire partie de cette minorité est un calvaire, être obligé à souffrir à vivre de la bêtise des autres, sans autres perspectives. D'abord, par vivre la solitude dans une société qui fourmille d'êtres humains, ensuite, être le motif d'agressions par des voisins hostiles et ignorants, ensuite en général, vivre à être la cible des malveillances des crétins apeurés, et pour finir, vivre les efforts de créations originales destinées à des sociétés d'individus qui ne comprennent rien. Tout un programme ! d'humain inutile ? Non. La vie est courte autant ne pas la gâcher par se boucler des frustrations en accusant et s'en prenant aux autres, alors qu'on est tous responsable ensemble des malheurs dont on se plaint en boucle.


[2] Original du latin « originalis » qui signifie : qui existe depuis l’origine : originel. Origine du latin « originis » (génitif de « origo ») qui signifie : source. L'idée de la source unique et différente des autres « qui ne ressemble à rien » qu'à elle-même vient du désir de distinguer son ouvrage. L'art s'est détaché de l'artisanat, car l'artisanat répète le même, au contraire de l'art qui (est censé) produire des différences  : gestes, objets et vies. Original est étymologiquement en opposition au sens de : créer des différences au présent, mais c'est le seul terme existant pour affirmer la création de différences dans un contexte assimilarisé forcé à la copie, à l'uniforme et à l'obéissance à des règles passées du passé (qui au présent sont en désaccord avec le contexte existant).

[3] Pensons + profond :

L'artiste, où qu'il soit, est devenu « la sorcière à chasser » pour empêcher que ses oeuvres d'art soient perçues et comprises par le public.

Pour quoi ?

L'artiste, par son existence, représente, par sa liberté de vivre, être l'ennemi de la politique.
La politique qui tend depuis la domestication de l'espèce humaine en esclave à tenir un régime de dictature
Ça, pour que les esclaves ne se détournent pas de leur peine à vivre esclave.
Tout est fait pour effacer la réalité sociale de l'industrie de l'esclavage dans le monde du travail.
Chantage, menace et corruption (= punition et récompense) sont ce qui fait fonctionner cette industrie de la peine humaine.
Car la majorité des êtres humains capturés et possédés sont agis par la peur
Les gouvernants tout autant que les gouvernés : « la bourgeoise vit terrorisée » (sic).
La culture de cette terreur est ce qui tient l'industrie mondiale de l'esclavage.
Que tout esclave, pour ne pas être confronté à sa honte, nie.
Le problème des artistes authentiques en dictature est :
L'artiste dévoile cette supercherie par créer des oeuvres d'art,
Car toute oeuvre d'art pour exister ne peut pas ne pas se réaliser sans liberté.
La liberté est la garante de l'imagination qui est la garante de l'intelligence.
Un esclave ne peut pas être intelligent au risque de perdre sa fonction servile,
Ignorant, croyant et enrobée ou dérobée de confort,
Ce pour quoi ces êtres abdiquent à vouloir vivre libre.

En 2022, nous en sommes là,
et +,
Avec la fausse pandémie,
Celle politique
De vouloir encore + terroriser les gens,
À ce qu'ils obéissent encore +, à ce qu’ils se soumettent définitivement
Montre toutes les incohérences de comportement des êtres humains capturés dans leur confort.
Cette épidémie d'une grippe artificielle,
que les politiciens, en accord des nations dominantes, ont lâché ce virus dans les espaces publics,
Mais, pour quoi ?
La réalité montre que le virus de la grippe tue principalement des vieux (et les étrangers des pays tropicaux) :
Dans ce pays, environ 10 000 des 800 000 décès annuels, ce qui n'est rien, mais l'intention d'assassinat, reste.
Pourquoi vouloir tuer les vieux ?
Surtout et après les propagandes de l'industrie cosmétique à vendre la jeunesse éternelle ?
Ce n'est qu'une intention politique qui sert l'économique à préserver et augmenter les capitaux.
Moins de vieux esclaves vivant à la charge = + d'économie = + de bénéfices.
Le politicien ne pense pas plus loin.
La raison du lâchage du virus du HIV était de supprimer les homosexuels.
Ce n'était pas une raison économique, mais morale, comme Hitler voulait se débarrasser des Juifs.
Une incohérence (de comportement adulte d'enfant gâté) ou la réorientation de sa frustration de vivre à nuire à des communautés stigmatisées (les homosexuels ne sont pas une communauté).
Ne faut-il pas être idiot pour croire que ça pouvait se réaliser ?
Même avec la longue expérience historique des exterminations qui ne fonctionnent pas ?
Les politiciens sont des êtres avides de pouvoir, responsables de l'administration des esclaves.
Quand ils considèrent qu'il y en a trop (ou que leurs maîtres considèrent qu'il y en a trop), et il y en a trop,
Les politiciens doivent trouver une solution pour réduire leur nombre.
Mais, ils n'ont pas de solution, car l'industrie de l'esclavage qu'ils protègent est la génératrice même du problème.
C'est un paradoxe duquel personne ne peut s'échapper.
Et les décisions politiques pour cesser notre dégénérescence sont inopérantes et le resteront.
Car en tant que bergers de troupeaux, ils n'ont pas le recul ni l'intelligence de comprendre la situation
Que les philosophes-artistes pourchassés ont pu révéler,
Mais dont leurs oeuvres ont fait l'objet d'une censure par incompréhension, mépris et ignorance.

 

 

 

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