Les échelles irrégulières

 

Les échelles irrégulières sont des échelles qui ne répètent pas à ses différents échelons le même intervalle.
[Notes/hauteurs localisées par leur fréquence fondamentale dans le cas d'un spectre harmonique constitué par la suite des entiers].

Une échelle irrégulière se caractérise
et par l'intervalle moyen auquel les autres satellitent autour
et par l'ambitus entre l'intervalle le + petit et le + grand de l'échelle.

Si une échelle se définit [d'abord] être régulière, c'est pour ne pas tomber [par faux pas] dans la confusion.
Si on force la distinction, c'est pour comprendre pour agir avec. Une structuration avec laquelle agir la musique.
Si une échelle se définit [d'abord] par être régulière,
C'est pour que son intervalle soit le pas moyen pour passer sans trop d'effort à l'échelon supérieur ou inférieur
Si une échelle se définit [d'abord] par être régulière, c'est pour pouvoir mesurer les autres [sans calculs complexes]
Si une échelle se définit [d'abord] par être régulière, c'est pour en fin, en extraire des modes.

Une échelle régulière est une échelle irrégulière simplifiée.
La réalité sonnante et matérielle s'éloigne de la régularité présentée par le calcul.
Ou : toutes les échelles sont dans la réalité des échelles irrégulières.
À y entendre de très très près, la fréquence mesurée diffère toujours selon sa provenance et selon son contexte.
Un nombre ne désigne pas une exactitude, mais une approximation.

L'étalon [le degré] de variation scalaire peut demeurer par l'entendant en deçà de leur identification :
l'échelle est alors perçue régulière, bien qu'elle ne le soit pas.
Au-delà, l'échelle peut être perçue irrégulière,
avec l'entrainement nécessaire de son audition,
à pouvoir détecter les micro-variations de ses intervalles.

 

 

COEUR-NOEUD

Comprendre la réalité matérielle vibrante qui se cogne à notre désir de mécanisation quantifiée d'exactitudes impossibles de la nature ça, uniquement pour [se croire] la gouverner. Jusqu'à s'abdiquer par l'illusion de l'irréalité de ce que le naturel présente. La défaite humaine de sa volonté à dominer et gouverner le monde de la nature, va jusqu'à se réfugier dans le conditionnement de sa perception, à se convaincre par l'illusion, que sa défaite est une victoire. Pourquoi vivre en guerre ? Ça, fait que nous nous éduquons une perception erronée de la réalité. Et à réduit nos organes des sens, non pas à percevoir le peu restant, mais à projeter sur l'existant son phantasme du pouvoir [qui passe principalement par la destruction]. Résultat : la connaissance souhaitée pour sa domination est bien un mythe formé par une collection de croyances. La connaissance n'est en aucun cas un savoir pour pouvoir faire, mais de l'information faussée accumulée pour maintenir l'illusion de son pouvoir sur la nature et son contexte vital. Cette pathologie humaine du pouvoir va jusqu'à détruire son contexte vital, par excès d'ordures, pour se faire croire en être le maître. Ça su, donne à passer à autre chose, au lieu de vivre dominé par une frustration qui fausse la réalité en une guerre perpétuelle.

Pourquoi les échelles irrégulières ne sont-elles pas des modes ?

- Pourquoi les échelles irrégulières ne sont-elles pas des modes ?
- Si on se base sur les lois : 1. une échelle est constituée du même intervalle et 2. un mode est constitué d’au moins 2 intervalles différents.
- Échelles et modes dans l'écoute peuvent se confondre.
- Mais
- La raison de l'existence des modes est de s'extraire d'une ou plusieurs échelles.
- Tout mode est attaché à une ou plusieurs échelles.
- Si l'échelle se confond avec le mode, c'est que poser des lois pour la distinction ne fonctionne pas dans la réalité acoustique de l'audition.
- Il existe bel et bien : une zone où modes et échelles se confondent.

 

 

Les échelles exponentielles et logarithmiques

- Les échelles exponentielles et logarithmiques font-elles partie de l'ensemble des échelles irrégulières ?
- Si l'ensemble des échelles régulières est inclus dans l'ensemble des échelles irrégulières,
- Il existe des échelles exponentielles et logarithmiques irrégulières et régulières.

Elles se définissent par le fait que leurs intervalles, soit s'élargissent progressivement (vers le grave ou vers l'aigu) pour les exponentielles, soit se rétrécissent progressivement. Cette progression continue révèle un facteur unique d'expansion ou de rétrécissement intervallaire.

[formant suite progressive d'intervalles rétrécissant ou augmentant de l'échelle = + ça monte ou descend en ton de fréquences + ça s'élargit ou rétrécit.]

Comment calculer un facteur d'expansion ?
Comment calculer un facteur de resserrement ?

Facteur d'expansion continue : ...
Facteur de resserrement continu : ...

Lorsque l'expansion ou le resserrement des intervalles d'une échelle n'est pas continu et progressif, de quelle échelle s'agit-il ?
Ça reste une échelle exponentielle ou logarithmique, mais qui par sa progression inconstante ou discontinue, devient irrégulière.

Ce qui fait qu'on a 2x2 = 4 types d'échelles progressives :

1. Les échelles exponentielles régulières
2. Les échelles exponentielles irrégulières
3. Les échelles logarithmiques régulières
4. Les échelles logarithmiques irrégulières

La progression continue donne à percevoir dans un graphique une ligne continue droite ou courbe sans aspérités. La progression discontinue donne à percevoir dans un graphique une direction avec une ligne invisible, car composée de saillies [des légers aller-retours].

La limite de la discontinuité d'une échelle progressive arrive au moment où la direction s'efface. Là, on rentre dans le monde de la polymodalité scalaire [où entre autres, le mode est constitué de différents intervalles de différentes échelles]. Et constitue une forme chaotique.

La frontière qui apparaît + être un champ qu'une ligne [de démarcation] étant floue, on sait :

Qu'une échelle peut prendre la forme d'un mode
et
Qu'un mode peut prendre la forme d'une échelle.

 

 

Des formes scalaires progressives régulières, il y en a 2 :

échelle exponentielle régulière à 10 tons : échelle logarithmique régulière à 10 tons :

 

Motivé par le désir de jouer des échelles exponentielles et logarithmiques qui dans le reflet se rejoignent :

...

 

 

Accords des guitares électriques polyscalaires nonoctaviantes

Les Guitares Volantes

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