L'histoire personnelle de chaque être vivant sur cette planète est répertoriée par toutes les polices (des pays « amis américains ») Nous le savons toutes et tous, je le sais aussi par mon expérience personnelle, celle de « mon arrestation » en novembre 1999 par la police américaine des douanes à... Montréal (sic) pour « abus de visa de tourisme » (sic) en tant que Français. Passant par Toronto en 2000, pour avoir été « banni du sol américain », j'ai été l'objet d'un « interrogatoire psychologique musclé » pendant 2 heures (qui ne ma pas fait rater ma correspondance !) par la police canadienne bien entrainée à la torture psychologique dont je devais faire le parfait cobaye approprié : « eh ! on en a chopé un ! et il va en baver » (sic) qui a réussi à me faire craquer dans le désespoir (et à en jouir, sans ça, la police ne pourrait pas pratiquer la torture, si elle n'en jouissait pas) : me menaçant de ne jamais revoir ma fille née Américaine vivant aux États-Unis (ma fille avait 2 ans) et en m'imposant un visa d'un mois (pour un Français) pour « dégager du Canada » (sic, j'épargne aux lectrices la vulgarité des policiers ajoutée à leur violence subie). La police canadienne m'a fait basculer dans la case « terroriste ». C’est ce que les Américains ont réussi à m'imposer pendant + de 15 ans : me terroriser à toute tentative d'accès à leur territoire. Pendant l'interrogatoire réalisé par la police canadienne, j'ai été très surpris de ce que connaissaient ces policiers canadiens, des détails privés de ma vie personnelle. Comment la police canadienne des douanes pouvait-elle savoir tous les détails de ma vie privée connus que de moi et de mon épouse ? Mon bannissement du sol américain était écrit « à la main » (sic) sur la dernière page de mon passeport français. À mon débarquement à Toronto, j'étais attendu par la police. Ce qui prouve que mon bannissement américain a été communiqué à toutes les polices des nations proaméricaines des aéroports, ce pour avoir été traité en « paria contaminé » isolé et surveillé par des militaires armés à chaque transit « non autorisé » (sic). À l'aéroport de Newark, le déploiement militaire à mon égard était impressionnant. La proportion, entre « abus de visa de tourisme américain » (pour un Français, sic) et la « punition » infligée de 15 années de bannissement est étrangement disproportionnée : elle a détruit ma famille. En quoi les tortures des Canadiens étaient-elles nécessaires ? En rien. Ça n'a rien changé. J'ai quitté le Canada 3 mois après sans encombre. On peut imaginer la taille colossale des dossiers que détiennent les polices sur les particuliers. Sachant que l'argument de ce viol des individus est « la sécurité nationale » (devenue en 2005, « sureté nationale » où « tout le monde est potentiellement coupable d'attentat », tellement le niveau de terreur pour engendrer la peur est élevé) sachant que les attentats meurtriers contre les populations (incriminées, sic) sont perpétrés par des relations de manipulations économiques entre agresseurs identifiés, dont nos pays (qui se targuent être démocratiques) sont les principaux incitateurs/provocateurs vendeurs de l'armement nécessaire pour être les premiers responsables du « marché des attentats contre les civils ». Si nos pays étaient effectivement démocratiques (à prendre soin les unes les uns les autres), de telles violations de la vie privée et les meurtres de citoyens ne pourraient pas être commis, ni généralisés, ni banalisés, ni exister. Il n'y aurait simplement aucune place possible à l'existence de cette violence pour installer la terreur (comme vouloir un feu sans bois à brûler). Pourquoi personne ne se pose-t-il jamais la question de la provenance des armes des terroristes ? Ce qui signifie que quand des passagers embarquent dans un avion, la police des aéroports sait exactement l'histoire de toutes les personnes qui embarquent dans les avions. Ce qui implique la question suivante : si la police des aéroports connait l'histoire de chaque passager, alors pourquoi réaliser des fouilles humiliantes à l'embarquement ? Et dans le contexte épidémiologique, pourquoi il n'existe aucune prévention sanitaire de détection des maladies transportées par les passagers ? surtout après l'épidémie du VIH de la maladie du sida, causant des millions de morts qui s'est propagée sur la planète (à partir des laboratoires américains implantés en Afrique) à la vitesse de la pandémie qu'on connait aujourd'hui, mais il y a 40 ans. . La fouille humiliante est la marque de la domination des populations pour le contrôle intime des individus : pour leur total assouvissement. Personne ne se plaint. Qui peut se plaindre ? Ce qu'il faut comprendre est que : le pouvoir politique pousse toujours + loin, la tolérance individuelle des gouvernés, jusqu'au bout du possible, ce, pour arriver à « l'ordre parfait de l'obéissance individuelle dans la machine administrative » = à démunir tout être humain de sa volonté (nécessaire à sa liberté). Tant que les êtres humains obéissent à cet état de servitude humiliante à la machine administrative (privatisée = illégale), tout pouvoir continuera à augmenter, toujours et encore, le degré d'humiliation des individus qui approuvent leur soumission : « c'est comme ça, on n'y peut rien » (sic). En 3 siècles d'Administration des individus transformés en citoyens esclaves obéissants, les résistances (les révoltes et soulèvements) ont été toutes assez faibles, assez pour que l'État (policier et militaire formé des populations serviles visées) puisse en venir à bout par des « petits » massacres, « sacrifiant » un « léger » pourcentage des populations par milliers « gangrénées » par l'idée de la liberté (sic). Ces faits montrent le peu de considération de l'humain vivant et de respect (alors que le « respect » (= obéissance) des lois est exigé sous peine d'amende) des gouvernants et des fonctionnaires « de l'Ordre Administratif » (sic) envers tous les êtres humains. Irrespect qui est agi dans une politique manifeste de volonté de domination par la violation de l'intimité des individus, leur soumission dans l'humiliation, ce pour entretenir leur assouvissement total, autrement dit, préserver l'instauration de la dictature totalitaire planétaire (« soft », car masquée du sourire des fonctionnaires prêt à l'attaque). Le sourire et la gentillesse rendent la vérité du viol inconcevable : « non, j'te crois pas » (sic). Le dénie social de l'évidence sert à ne pas souffrir + (le soulèvement des esclaves noirs en Amérique à pris du temps à cause de ça). Sécurité sociale La détention d'informations sur tous les citoyens, pour la chasse aux individus en cas de fuite, ce n'est pas nouveau : ça a commencé massivement avec la Sécurité sociale (terme ambigu pour la santé publique). En effet, en échange de soins médicaux (gratuits ? non, le péage est remboursé), l'individu est identifié par un numéro INSEE qui permet à l'État (à travers l'URSSAF, la Justice et les huissiers) de retrouver quiconque redevable ou condamné par la machine judiciaire, en effet, il suffit d'avoir un travail déclaré pour être retrouvé par les huissiers. Le numéro de sécurité sociale (la sécurité dans les 2 sens : celui de l'État et celui du citoyen en échange de son obéissance à travailler) détermine à vie la personne qui le porte : le 1er chiffre détermine le genre, 1 pour mâle, 2 pour femelle (rien pour les trans), le 2d indique l'année de naissance, le 3ème le mois de naissance, le 4ème le département de naissance, le 5ème la commune code INSEE, le 6ème le numéro d’ordre de l’acte de naissance, et le dernier la clé de contrôle attribuée par le système INSEE***. Il y a + La Banque de France détient un fichier sur tous les individus ayant ouvert un compte en banque. Ce fichier secret qui n'est accessible que par un code (chaque individu est identifié par un code, pas par son nom, pour garder l'information et le secret de l'information). C'est un fichier qui permet à toutes les banques privées d'être consulté avant qu'un individu désire ouvrir un compte en banque. Dans le fichier, il y a toute l'histoire bancaire de l'individu qui indique son comportement (= comment il/elle agit avec l'argent) : à savoir : si un individu est rentable ou pas. Mais depuis la re-privatisation de la Banque de France en 1967 par Pompidou, la détention de cette liste demeure illégale (c'est pour cette raison qu'elle est cachée) et scandalise un très grand nombre de personnes, car elle permet aux banques de mettre en faillite n'importe quel individu. Et ne donne aucune chance de se racheter. Notons qu'une détention (= casier judiciaire non vide) même légère ou abusive (faux coupable, ou abus de condamnation par des fausses preuves) interdit toute ouverture de compte bancaire, ce qui signifie que tout détenu à sa sortie de prison (après « avoir payé sa dette à l'État ») n'a aucune possibilité de travailler dans le monde du salariat. Étant au fait des condamnations et des enfermements abusifs : les condamnés font tourner la machine judiciaire privatisée (= sa rentabilité), les violations de personne ne s'arrêtent pas, au contraire, la population carcérale augmente, ce, pour rentabiliser les profits. Aujourd'hui, il y a encore + Le « smart phone » ajoute de l'information sur les individus en temps réel, ce, avec l'accord du marchandage entre les compagnies privées de téléphonie et l'État qui achète ces informations, même si ces compagnies clament le contraire, toutes les informations individuelles sont revendues aux États (unis) : c'est leur + grosse source de revenus payés par les contribuables espionnés avec : caméra, géolocalisation, microphone, etc., de son téléphone : ça enregistre tout ce qui est nécessaire pour chasser l'individu désobéissant (c'est-à-dire considéré comme une menace pour les intérêts de l'État : nommé « l'intérêt général » sic, pas pour l'intérêt commun, celui de la communauté, mais pour le contrôle de l'obéissance des peuples). L'espace de l'identification des citoyens et des individus est verrouillé depuis la naissance de la police au XVIIIe siècle * et se renforce depuis 3 siècles. On imagine la puissance policière dont personne n'a conscience pour soumettre tout individu considéré dangereux pour l'intérêt général de l'État = l'Administration des individus soumis par le pouvoir politique. Ce pouvoir et tout pouvoir existe pour être absolu. Le pouvoir dispose des individus comme on dispose des objets (inertes, sans résistance). Un individu dangereux est un individu insoumis. Révéler les secrets de l'État met en danger l'État : met en danger sa légitimité à révéler son illégitimité à nuire. Un secret ne se révèle pas. Le secret est l'armure du pouvoir politique. Une fois le pouvoir retiré, on aperçoit des êtres humains craintifs. C'est pour cette raison qu'existent les « Services secrets », pour protéger les actions meurtrières des gouvernants (lâches) envers « les individus considérés dangereux ». Pas dangereux pour les populations ou les individus formant ces populations, mais dangereux pour l'intégrité du pouvoir politique mécanisé par la machine de l'Administration. Les « Services secrets » contrôlent le flux de l'information (= les idées-opinions échangées entre les individus), à ce que le secret de la vérité du maintien du pouvoir politique par l'Administration soit bien gardé (pour ne pas être regardé). Les individus conscients qui refusent cette hégémonie sur leur vie personnelle sont minoritaires ; l'expérience de Stanley Milgram l'a parfaitement montré en 1963 : + des 2 tiers des populations occidentales sont prêtes à tuer n'importe qui sous l'ordre de l'autorité : « moi ? j'exécute les ordres, rien d'autre » (sic). Ce qui implique qu'il n'y a que 1/3 de l'humanité qui sait quoi faire de sa vie et qu'il y a 4,6 milliards d'êtres humains (sur 7) égarés sur Terre. La détention d'information sur chaque citoyen est la gageure de « la sécurité sociale » par la mise en esclavage des masses qui alimentent les classes dominantes (oisives = dont leur mort ne dépend pas de leur travail) qui ont verrouillé tous les passages interclasses par l'intermédiaire du gouvernement des individus par l'Administration (= l'État : l'État est une machine fonctionnant grâce aux esclaves contre les esclaves). Naître dans une classe, pour l'Administration, c'est y rester à vie : l'individu citoyen doit y rester à vie. (C'est l'une des raisons pourquoi les riches par filiation haïssent « les nouveaux riches »). Mais il y a des exceptions à cette Machine administrative de contrôle des individus dominés et soumis. 30% des individus sont difficilement dominables et ne se laissent pas tromper ni enfermer (la prison administrative de la citoyenneté n'a de différence avec la prison carcérale que l'absence de l'humiliation physique journalière des individus, et encore : le monde hiérarchique du travail repose sur l'humiliation des classes inférieures) pour « une miche de pain ». Ce qui est remarquable dans cette « volonté de contrôle mécanique des populations » par les gouvernements successifs depuis 3 siècles, c'est « la volonté des populations à désirer être gouvernées », tout en niant l'humiliation vécue subie. Pour quoi ? « Pour un p'tit peu de bouffe » (sic) et pour « la sécurité de mes enfants » (sic), mais accepter-vouloir cette soumission met effectivement ses enfants en danger : danger qui signifie réellement : être incapable de décider de sa vie par soi-même, danger vient de domination (pas de risque de mort). Il n'y a aucun danger à mourir. La mort est le processus naturel qui donne la vie, où l'un sans l'autre n'existe pas. Montre les sens détournés dans les états d'esprit des serviles qui se sentent en droit + que les autres (... ?) à vivre dans et par leur soumission (à nuire aux autres). En tant qu'artiste, je commence à soupçonner l'invraisemblance ou l'impossibilité de 40 années de censure de ma création musicale ! Fait impossible dans une société démocratique qui prendrait soin les unes les uns les autres. Censure d'être amené à « une assignation à résidence » forcée sans forcer, tellement la situation se révèle être non-naturelle. Comment est-ce possible de taire la musique d'un compositeur pendant 40 ans ? En considérant en + de la « purge nationale des artistes français » ** libres (une tautologie) à partir de la fin des années 70 du XXe siècle (une inquisition nationale à empêcher leurs oeuvres à avoir un contact public) qui coïncide avec la prise du pouvoir politique par les banquiers, nommée : « la révolution conservatrice » contre le soulèvement de la jeunesse dans les années 60. Notes * Cette politique du secret a commencé bien avant le XVIIIe siècle, ne serait-ce que l'exemple de l'institution de l'Académie française par le cardinal de Richelieu pour contrôler les publications non conformes à la politique du roi (?) Louis XIII et : qui a fait fuir le philosophe René Descartes alors âgé d'une trentaine d'années aux Pays-Bas pour y demeurer jusqu'à sa mort. La culture politique du management des artistes et des philosophes (qui sont les principaux ennemis de l'État pour révéler les secrets gouvernants qui devraient rester secrets) à ce que rien n'éclabousse publiquement à incriminer le gouvernement et l'État de ses méfaits est le travail des Services secrets. Mais ce que ces gouvernants ne veulent pas comprendre, c'est que personne, des humains (et des autres), n'est l'ennemi de personne. La culture de l'ennemi est une paranoïa volontaire pour se donner le prétexte à la guerre. Qu'un tel régime des capitaux n'est gouverné que par la peur, par la peur profonde de manquer, par la peur de mourir, dont dominants et dominés sont possédés par servilité, alors que : la mort c'est la vie = sans mort pas de vie ! Et, sans vie, pas de mort. ** Cette Purge nationale des artistes français est une guerre qui n'a pas besoin ni des militaires ni de la police ni des services secrets (quoi que, le ministère de la Culture a remplacé le ministère de l'Information avec les mêmes fonctionnaires), cette purge est réalisée par « les fonctionnaires de la culture » (sic) par la hiérarchie de la commande de l'interdiction où le gouvernement a pris possession du contrôle de toutes les salles importantes de concerts, d'exposition et de théâtre du pays (par la subvention publique) ce qui empêche « les artistes français inobéissants (mot inconnu) » (= non subventionné) de s'y produire. Ces artistes sont identifiés « anarchistes ou libertaires » (sic) pour être interdits des scènes publiques. Le dispositif de censure national est simple : l'inobtention (mot inconnu) de la subvention conditionnelle ferme l'accès à toutes les programmations possible de « ces artistes bannis » (sic) dans les salles et festivals subventionnés : là où il s'agit de réaliser un « retour de financement » (sic). Ne reste que les petites salles privées et clandestines sans moyens. Cette inquisition des arts et de la musique (savante) dure depuis + de 40 ans. *** « Historique du numéro de Sécurité sociale. La visée de cette combinaison n’était à l’origine pas sociale, mais civile. En 1940, René Carmille – contrôleur général des armées pendant la Seconde Guerre mondiale – instaure l’immatriculation de la population dans le but de préparer la remobilisation de l’Armée française, dissoute suite à l’Armistice. Ce n’est qu’en avril 1946, que le “numéro des Français” est adopté par la Sécurité sociale. » https://www.lelynx.fr/mutuelle-sante/indemnisation/securite-sociale/numero/ (sic) La réalité fut autre, il s'agissait avec le numéro Camille d'identifier et de répertorier pour les Allemands les Juifs dans la nation française. https://fr.wikipedia.org/wiki/Num%C3%A9ro_de_s%C3%A9curit%C3%A9_sociale_en_France