Vengeance

« on-dit malveillant » ?

 

l’escroquerie J-M J, le pape de la médiocratie :

L’escroquerie J-M J a débuté dans les années 70 avec un album vinyle titré « Oxygène » et publié à des millions d’exemplaires [1]. « Oxygène » est un album de chansons, mais avec des synthétiseurs et sans voix. Une première en France à si grande échelle : un coup commercial de maître (après Pop Corn*). Le nom de « l’artiste » est Jean-Michel Jarre, (il sévit toujours) fils du compositeur de musique de film Maurice Jarre. Maurice composa toute la musique de ce premier album « Oxygène » qu’il offrit à son fils Jean-Michel sans qu'il le sache et qu’il fit exécuter à ses machines (séquenceurs et synthétiseurs) et qu’il signa. À la suite de l'ignorance entre le père et le fils, la collaboration musicale après « Oxygène » fut rompue [2]. Mais Jean-Michel s’obstina à poursuivre sa carrière reconnue de « gourou de la musique électronique française » pour profiter de la crédulité volontaire du public ébahi face à ses cérémonies électroniques m'as-tu-vu où il ne jouait pas, mais faisait semblant. Toute la production discographique après « Oxygène » reste d’une médiocrité affligeante, Jean-Michel n’est jamais parvenu à dépasser la qualité commerciale d’« Oxygène » : normal, puisque ce n’est pas lui qui a composé la musique, mais son conditionnement au plagiat**. Vengeance. Je me permets de révéler ces faits sur Jean-Michel Jarre, car ça médiatisation a personnellement nui dans ma carrière à maintes reprises à travers le monde et principalement à Houston où il est considéré comme la référence française de la musique. C’est insultant… Nous considérons Jean-Michel Jarre comme l’ambassadeur de la médiocratie musicale française. Une honte envoyée même dans l’espace dans la navette spatiale Discovery (à vérifier) [3]. Ça devait faire moderne ? Il pollue et conforte les esprits ignorants volontaires qu’il n’y a pas d’idée dans la musique. Jean-Michel Jarre fait de l’évènementiel, il n’a jamais fait de la musique. Il fait de la publicité (avec du tape-à-l’œil et du tape-à-l’oreille) où il rassemble différentes trouvailles technologiques les plus spectaculaires d’inventeurs originaux qu'il simplifie pour son usage (je pense à la harpe laser de ... et au Lume de ..., et tant d'autres à qui il a détruit l'originalité). Il collecte tout ce qui électroniquement produit du son ou le traite, sa chambre doit-être rempli de jouets à ne plus savoir qu’en faire [4]), dans un événement où il fait du copier-coller : J-M J ne crée rien, il assemble les créations des autres sous lesquelles il signe de son nom. Pour son évènementiel de Liverpool dans les années 80 il m’avait indirectement sollicité pour y participer avec le Trio Fonic : nous jouions alors avec des instruments à cordes du Bauhaus : cubiques de toutes les couleurs (critère suffisant pour être engageable par J-M J), mais seulement pour de la figuration et sans musique (nous devions faire semblant de jouer) : j’ai refusé. À cause de lui les gens confondent « avant-garde musicale » et « évènementiel », agitation publicitaire et expression musicale. Une majorité d’ignorants pensent qu‘il fait de la musique expérimentale ! Très souvent certains me disent : « vous faites de la musique comme Jean-Michel Jarre ? C’est extraordinaire ! » de honte je ne sais plus où me réfugier. J’essaye de leur expliquer qu’il ne fait pas de la musique, mais du déballage technologique et de la publicité pour épater les crédules « dont vous ne faites bien sûr pas partie » (sic). Ce qu’il produit est tellement nul et bête que je ne comprends pas qu’il puisse encore continuer ses animations-publicitaires-mégalomanes-en-extérieur en étant suivi par les médias et les crédules et que cela soit considéré comme de la musique : c’est peut-être ça la médiocratie : l’agitation envahissante des ignorants volontaires à vénérer l'insignifiant. L'escroquerie J-M J représente et est le symbole de notre société de l'argent maître qui cultive l'insignifiance où le divertissement et l'animation populaire grand spectacle sont confondus avec la musique. La musique réduite à un produit de consommation : tant que ça se vend en masse, c'est tout bénéfice (sic). Ces faux artistes intégrés à la politique néolibérale des Majors représentent notre société avide et sans courage, à ne pas s'avouer ses mensonges destructeurs. J-M J au fond n'est rien, que le résultat du système médiocratique qui l'a fait naître et qu'il représente.

 

 

Notes
[1] la pochette représentait la Terre avec une tête de mort à l’intérieur : la bonne idée pour confondre la morale écologique en chacun de nous.
[2] Le fils n'aurait jamais connu son père. Un autre en lui aurait composé ses chansons sans paroles par frustration du rejet de son père. Mais peu importe.
[3] Qui fut ce comité de sélection des « musiques » ? pour provoquer en nous une honte si profonde de ce que nous représentons musicalement, nous les terriens pour d’éventuels extraterriens : une idiotie crédule d’une naïveté incroyable pour des scientifiques instruits.
[4] pour se faire pardonner (?) plutôt condamné, Jean-Michel Jarre devrait (doit) arrêter la musique et mettre (donner) ses instruments électroniques à disposition (dans un pool de prêt) à des artistes non intégrés au mensonge de l'industrie du disque, mais courageux qui n’ont aucun moyen d'accéder à ce genre de synthétiseurs coûteux et cela comme don de soi sans publicité (je ne dis pas ça pour moi : je me suis débrouillé autrement). Tous ses jouets confisqués pour cause de conduite qui nuit à son prochain. Question d'hygiène. Mais il n'aura jamais le courage, ni celui de dégonfler son ego.

Anecdote :
* Pop Corn le tube de 1972 signé du pseudo Jammie Jefferson est en fait Jean Michel Jarre qui a volé le morceau à Gershon Kingsley le compositeur original de Pop Corn (avec le même titre) publié en 1969 par 'Music To Moog By' en cédant ses droits d'auteurs. ** La mélodie tant connue d'Oxygène est en fait la mélodie de Pop Corn des 7 notes moins 2 = 5 notes. La carrière de Jean-Michel a débuté dans le vol et le plagiat, mais lui n'a pas cédé ses droits d'auteur usurpés à Gershon Kingsley.

 

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