L'ATTACHEMENT PLANÉTAIRE

Le rêve phantasmatique du planétarium (= paradis planétaire) générateur de musique (« des sphères » sic)
profitons de ce fantasme spatial de l'harmonie des sphères planétaires de l'humanité occidentale
pour attacher la diversité sonique à l'intolérance uniforme afin d'ouvrir une brèche à la tolérance.

DEVIENDRA

LES ATTACHEMENTS PLANETAIRES qui obligeront
à considérer différents horaires pour se rencontrer se retrouvrer et pouvoir se parler.

 

ÉCHELLE MUSICALE ATTACHÉE À UNE PLANÈTE
Échelle musicale attachée à une planète ?

Qu'est-ce que les échelles d'amas de fréquences (= hauteurs de notes, sic) ont de planétaires ?

Autrement dit :
Pourquoi notre occident s'acharne à ne retenir qu'une seule échelle octaviante pour sa musique ? Arguant la division dodécachronique du temps terrien.
Pourquoi les esprits scientifiques (à commencer par Pythagore jusqu'à Euler) se sont tous obstinés à calculer l'ajustement scalaire dans la suite des nombres entiers dans la série harmonique de l'échelle de 12 (1/2) tons divisant l'octave ?
Comment la consonance (et son ennemie la dissonance, sic) s'est rendue évidente pour agir notre intolérance sectaire ?
Pourquoi rejeter l'abondance pour un seul élu ? Est-ce parce que les têtes humaines terriennes sont trop étroites pour utiliser toutes les abondances ensemble ? [1]

 

HORAIRE et SCALAIRE utilisent la mesure intervallaire de la vitesse de rotation planétaire

 

LA MUSIQUE SONNE LES INTERVALLES DE TEMPS
L'HORAIRE SYNCHRONISE LE TRANSPORT EN COMMUN

 

SOLUTION D'ACCEPTATION (ou stratégie de sé- ou d'induction (= action de conduire vers) ?)

Si l'échelle octaviante 12 s'attache tellement à la Terre (occidée) [2] -sachant que le nombre d'échelles octaviantes est fini : de 5√2 à 96√2, il y a 92 échelles octaviantes- attribuons les 91 autres à d'autres planètes (habitables ?) ! Sachant que la 6√2 debussienne et la 24√2 arabe, multiples (x2 et /2) sont en usage terrien modéré. Certaines échelles peuvent alors s'échanger ou être en usage multiplanétaire : une ou plusieurs échelles par planète, selon l'usage de la nécessité. C'est bête hein !

Nous savons que les échelles octaviantes sont des exceptions scalaires par leur nombre fini dans le monde scalaire (échelles ? qui distingue des degrés égaux fixes d'amas de fréquences). Les échelles nonoctaves (non binaires = qui ne divisent pas un doublon) beaucoup + nombreuses, voire infinies, se distinguent par leurs sonorités intervallaires et par leurs 3 profils :

1. cyclique = orbital*
2. acyclique = traverse
3. quasicyclique = courbe

[* les échelles à octave sont incluses dans cet ensemble]
[les modes sont inclus dans l'ensemble des échelles,
même si les modes sont + nombreux que les échelles]

L'intérêt (entre autres) du cycle nonoctaviant (= en dehors de l'ambitus binaire) (pour, entre autres, sortir de la sonorité élue imposée unique) est de pouvoir modifier l'amplitude du cercle cyclique de l'orbite [3] (amplifier ou diminuer son étendue) avec un nombre égal de degrés. Cette amplitude du cercle cyclique scalaire peut s'associer à la grosseur planétaire (pour l'image) (on n'imagine pas possible des orbites intraplanétaires = à l'intérieur de la planète). Cette analogie (= correspondance forcée) n'est que de nécessité stratégique, pour accueillir la tolérance des différences dans nos cervelles. L'étude (= le jeu/chant = l'émission et l'écoute rétroactive) des échelles nonoctaviantes est un excellent exercice de déconditionnement de l'intolérance des autres et de reste, et la possibilité d'affiner notre perception (= à dévoiler ce qui était caché). Et, il est tout à fait possible que cette théorie musicale élargie se développera parallèlement avec les voyages interplanétaires (au début du XXIe, nous en sommes encore très loin !) pour ouvrir nos esprits fermés par la terreur, il faut que naisse le sens d'une nécessité, et l'analogie interplanétaire peut aider.

 

ATTACHER POUR DONNER DU SENS

Comment dans un monde uniformisé donner à ce que la diversité soit perçue (et appréciée) ? et non crainte.

 

Alors voilà

Si on suppose les êtres humains habitant différentes planètes
Ça suppose que les habitants de chacune des planètes habitent avec des horaires différents en fonction :
1. de l'amplitude de l'orbite autour du soleil-étoile
2. des 2 vitesses de rotation l'une axiale = jour/nuit et l'autre orbitale = année

L’habitat inter- et multiplanétaire va obliger l’espèce humaine à considérer différents horaires :
1. propre à chaque planète, et
2. propre au voyage interplanétaire

Et, le lien entre les champs scalaires nonoctaviants et les horaires interplanétaires
va permettre l’acceptation et l’intégration de la diversité scalaire nonoctaviante
qui réside dans l’attachement planétaire des individus à différents horaires de chaque planète.

 

EXEMPLE TRÈS SCHÉMATIQUE :

les horaires multiples planétaires et du voyage interplanétaire

...

 

Ça, uniquement en référence à l'étroitesse d'esprit existante.
En effet, il n'y a aucune raison à ce que différentes échelles de temps
coexistent en même temps parmi les êtres humains d'une même planète !

 

 

Notes
[1] Il n'y a pas de place pour tout ? Si. Bien sûr que si. Dans le cas contraire, il existerait des évidences inexistantes : une forme d'absence d'une présence ressentie qui devrait être là, mais qui ne l'est pas. La place dans l'histoire de cette affirmation : « il n'y a pas de place pour tous » (sic) est l'idée motrice et fondatrice qui forme nos « sociétés agressives du mérite », dont le mérité n'est jamais le méritant, mais un accord d'intérêts : « je te donne ça, tu me donnes ça ». L'idée « il n'y a pas de place pour tous » (sic) génère la permanence SDRE : ségrégation, discrimination répression et exclusion.
[2] L'histoire de la gamme occidentale est attribuée et commence avec Pythagore (qui n'a rien écrit) avec la série des quintes (2d intervalle harmonique 3/2) qui mises bout à bout à la 12ème fois retrouve la « note » (= amas de fréquences en rapports entiers) de départ. Où 12 quintes coïncident (presque) avec 7 octaves : 3/2^12 = 129,746337890625 et 2^7 = 128. De - 500 à 1932 environ, 2432 ans à se prendre la tête pour une gamme ! 1932 ? (avant 1939 et après 1918) prise de conscience par les musiciens Wyschnégradsky avec Habba et Partch d'aller entendre ailleurs (les calculateurs non-musiciens ont l'art de rendre la gamme injouable).
[3] Rappelons qu'un son audible ou pas, défini par une fréquence (ou un amas de fréquences), est sa vitesse de rotation (= fréquence) avec son amplitude de rotation (diamètre du cercle). La représentation graphique usuelle d'une onde est son mouvement rotatoire dans le temps. UNE ORBITE EST UNE OSCILLATION.

 

 

re tour à la table des matières

RE TOUR à la théorie des champs scalaires nonoctaviants

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