INTRODUCTION GRAPHIQUE A LA REPRESENTATION DES ECHELLES
Représentation graphique des échelles acycliques
Représentation graphique des échelles cycliques
division paire <=> échelle symétrique
x1/8
L’origine à 0 (qui dans le cercle commence à midi ou minuit) permet :
1. de chiffrer l’intervalle de l’échelle (en rapport, en cents, etc.), et
2. de comparer la coïncidence de différentes échelles.

Dans l’origine, il y a la note origine et la fréquence origine. La note correspond à une localisation physique (instrument de musique) et graphique (partition) d’un degré de l’échelle (jusqu’au protocole MIDI, on confond le nom de la touche/position et le nom du graphisme, puisque dans notre monde musical classique, il n’y a qu’une seule échelle de 12 tons divisant l’intervalle de l’octave. Avec les champs scalaires, tout se relocalise en permanence).

La fréquence localise en nombre de vibrations par seconde, la note origine. La note médiane localisée à 261,62... Hz sur le clavier piano est nommée do3, C4 ou C3 suivant les nations francophones, anglophones ou germanophones. Cette fréquence unique (mais variable) est déduite de l’accord planétaire des orchestres symphoniques de s’accorder sur la même fréquence afin de jouer la même musique avec le même accord à des endroits différents (c’est une idéologie comme une autre). Le diapason est positionné aujourd'hui à 440 Hz et correspond à la note La3, A3 ou A4. C’est le diapason qui donne la fréquence du do3 repéré 9 degrés de l’échelle Z12 en dessous du la : lab sol solb fa mi mib ré réb do. Dans le monde des champs scalaires, cette idéologie de la répétition du même perd son sens : le diapason devient mobile en fonction du contexte toujours particulier et unique.

représentation.graphique.du.cycle.scalairisé.pdf 328Ko

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re tour à la table :des mathières

 
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division impaire <=> échelle asymétrique
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