Le 11 juillet 2017, MASSAT Bernadette a écrit : Monsieur, Suite au mail que vous avez adressé à Madame MARIE DEQUE, je me permets de vous écrire afin de fixer un rendez vous avec Mr Arnaud HAMELIN, Directeur des Musiques. Pouvez vous me rappeler svp au 05 31 22 99 01 afin que nous tous les deux un rv avec Arnaud HAMELIN En vous remerciant d’avance, Bien cordialement, Bernadette MASSAT Pôle Secrétariat / Administration Festival Rio Loco / Metronum bernadette.massat@mairie-toulouse.fr DIRECTION DES MUSIQUES MAIRIE DE TOULOUSE - DGA AC 18, Rue Saint-Rémésy 31000 TOULOUSE T: +33(05) 31-22-99-01 (ligne directe) T: +33(05) 31-22-99-00 (standard) Le 13 juillet 2017, Mathius Shadow-Sky a écrit : Chère Madame Bernadette Massat, Je vous remercie de prendre contact avec moi. Mais de quel email parlez-vous ? Marie Déqué, de ma part, en a reçu plusieurs. Mais il y en a un + que les autres qui a provoqué une (grosse) vague de sympathie nationale de la part des (vrais) artistes, des + anciens aux + jeunes, des + connus aux + inconnus : LE BILAN DE LA CRÉATION MUSICALE SAVANTE A TOULOUSE (et des arts en général). C'est lors d'une conversation avec le maire Jean-Luc Moudenc que la nécessité de ce bilan s'est avérée indispensable, voire vitale. Il m'a dit : « vous êtes le premier compositeur que je rencontre » (sic) entendu : de toute mon existence. Dire ça, démontre l'état médiocre des arts (montrés) à Toulouse, et ce, depuis le XIVe siècle (avant, nous ne savons rien). La paupérisation des arts par la paupérisation des artistes (des vrais) s'est installés par la violence de la politique de la ville, c'est, ce que mon bilan démontre (bilan qui ne s'adresse pas uniquement à Toulouse, mais à toutes les villes de France convaincues de favoriser « la politique culturelle » (= l'hécatombe culturelle)) tout en croyant le contraire, à financer animations et décorations qui alimentent la dégénérescence de nos sociétés (persuadées d'être intelligentes : premier symptôme du croyant). Les artistes (les vrais) ont le rôle social fondamental de développer l'intelligence et la sensibilité humaine (les machines (la technologie) font exactement le contraire, elles asservissent et handicapent) et, cette intelligence pour se développer ne peut que s'alimenter de liberté. C'est pour cette raison que les politiques depuis les années 70 du XXe siècle (après 1968) font tout en leur pouvoir pour asservir les artistes. Mais un artiste (un vrai) par sa fonction même d'artiste (ni animateur ni décorateur, ces actrices et acteurs de la diversion du divertissement) est inasservissable (mot inconnu du dictionnaire, tellement l'action est inexistante) : un artiste asservi (à l'argent, à la corruption, au pouvoir, à la notoriété, etc.) n'est plus un artiste. Un artiste (un vrai) ne ment pas, ne se ment pas, sinon il ne crée pas. L'authenticité est un art qui demande du courage (qualité absente de nos sociétés) et l'effort de la persévérance à vouloir savoir (qualité absente de nos sociétés). S'il ment, s'il se ment, il se détache du réel : sa matière de création. La « politique culturelle » depuis 1981 s'est attachée à supprimer les artistes de nos sociétés (à les remplacer par des faux). Les faux sont kyrielles (les faux pour être faux à se maintenir vrais, doivent se croire de vrais artistes, et tous se croient). Les suppressions des subventions de la culture ; est la suite logique de cette politique « culturelle », croyant être le dernier coup fatal (l'assaut final) qui va décimer définitivement les artistes (= les faire mourir dans la pauvreté). Mais supprimer les subventions (à la culture, sic) ne décimera pas les artistes (les vrais), elle supprimera tous les faux artistes qui ont envahi l'espace public des arts depuis 1981. Les artistes sont aussi des êtres humains, ce ne sont pas des ennemis (contre l'espèce humaine dont ils font partie) comme notre société sait si bien les fabriquer, pour justifier la guerre, pour justifier le pouvoir politique (« pour votre sécurité », sic). Mais, supprimer les artistes ou réaliser le génocide des artistes (des vrais) est une entreprise impossible (c'est comme vouloir supprimer le réel). C'est idiot. Les pandémies politiques artificielles ne peuvent pas supprimer « effacer » des états de fait produit par la réalité (je pense à l'homosexualité diabolisée par l'Église, elle-même cultivant la pédérastie, qui a provoqué (par ricochet de croyance) la pandémie qu'on connait). Ce désir ne révèle que l'idiotie du pouvoir politique actuel. Il s'agit maintenant de le reconnaître, pour arrêter de se nuire mutuellement les uns les autres. Pour que vous politiciens et fonctionnaires considériez l'artiste « ennemi de la société » est une aberration, un aveuglement de pouvoir politique qui révèle la volonté d'introduire la guerre dans la vie civile, dans le cas contraire, les citoyens asservis et les artistes (les vrais) ne seraient pas tant maltraités, ni mis en danger (= domination) depuis si longtemps. 1/2 siècle (pour nous vivants, mais en réalité historique : 6 siècles) de répression n'a pas arrêté les artistes (les vrais) à créer et à dire ; au contraire : l'interdit, la censure, la torture, le supplice renforcent le courage et l'audace (cette lettre le prouve ou la mise au bûcher public des philosophes n'a pas supprimé la philosophie). Considérer les artistes ennemis de la domination politique signifie que cette domination est simplement illégitime. Cet email avec ce bilan était adressé au maire Jean-Luc Moudenc, car indirectement, il me l'a demandé (ou l'état de son ignorance me l'a demandé). Je ne connais pas monsieur Arnaud Hamelin, mais s'il désire me rencontrer, qu'il prenne sa plume (son clavier) ou son téléphone pour me joindre. Je suppose que c'est un homme capable de faire ses courses lui-même, sinon en quoi peut-on entamer une entente dans la restauration du désastre culturel qui dégénère tant nos sociétés occidentales ? Nuire est tellement + facile (tout en exigeant d'énormes moyens) que de réjouir (qui ne demande que du savoir faire). En matière d'accord, la musique en est la créatrice. Avec sympathie Mathius Shadow-Sky 07 83 07 84 21 Mes 67 disques de 1979 à 2017 que je donne oui, gratuitement : http://centrebombe.org/myster_shadow-sky_discography.html Le 13 juillet 2017, François Rossé a écrit : Cher Mathius, je te suis bien dans tes propos, il est vrai que la liberté est une chose si précieuse, et si on opte pour cela, on en paye le prix car tout le « commerce » artistique est mû par le monde de la finance (victoires de la musique, prix des lycéens etc uniquement au chiffre d'affaire sur les millions de disques de vendus), cela touche l'art mais touche l'humanité entière dans la nouvelle loi « travail » que Macron veut imposer par ordonnance, nous sommes sur la voie de la dictature politique par l'argent, et nos arguments humanistes ne leur sont simplement plus compréhensibles... alors, certes, nous résistons tant que possible, mais le pouvoir des médias est infernal, on ne les nomme pas assez, même les politiques y sont soumis... j'ai eu la chance d'avoir échappé aux appétits médiatiques ce qui m'a permis de me construire le long de mes aventures diverses, mais la média est un prédateur redoutable qui ne fonctionne actuellement que sur la logique de la rentabilisation dans la marchandisation culturelle... on est, heureusement pas du même bord, on rame certes un peu, mais on respirer l'air respirable tout de même, amitié, François Le 14 juillet 2017, Mathius Shadow-Sky a écrit : Tu as raison François, les médias sont à la fois le bras de la désinformation de la domination politique et à la fois l'organe collectif du commérage mondial suivit par tous les êtres humains qui s'ennuient de vivre (ou qui dépriment cherchant un (faux) réconfort à se distraire de leur souffrance). Le commerce de la haine. Le mépris du monde de la télévision et de la presse pour le peuple qui la regarde est profond (voire constitutionnel), ça se constate dans les programmes proposés. Le spectateur humilié reste et regarde à se faire humilier (sans rien dire ni faire, et ce, quotidiennement et en +, paye son humiliation). Mais les médias à sens unique vont-ils disparaître ? Internet prend beaucoup de place parmi les nouvelles générations aux (fausses) initiatives individualisées. Ce qui ne signifie pas la disparition de la désinformation et du commérage. Au contraire, avec Internet le commérage devient planétaire avec les « échanges » (= propagation rhizomatique) d'images où le texte n'est que quelques mots d'illustration de l'image (de l'illusion). Non seulement ça, mais en + le réseau libre multidimensionnel où tout être humain peut se connecter (l'architecture fondatrice d'Internet) se voit comme les terres de la planète appropriées est canalisé par des (faux) services (trop connus pour les nommer) qui asservissent à ne plus pouvoir s'en passer et surtout effacer toute initiative personnelle de création de site web avec l'argument de la (fausse) visibilité quantitative (= + tu payes + on t'augmente le chiffre affiché). Ces services asservissent, voire handicapent = occupent à provoquer le désir de l'insignifiance du commérage. La jeunesse (la vieillesse asservie est larguée), sans pouvoir comprendre, sans chercher à comprendre, prend le chemin balisé et banalisé de la croyance tout en croyant être dans le vrai en renforçant le principe instauré de la désinformation, par celles et ceux se croyant « militants » (« l'espoir d'un demain meilleur » sic). Je les appelle les momo (= les Moralisateurs de l'Ordre Mondial Occidental) qui agissent par délégation à poser leur nom croyant faire « un don de soi à l'humanité » qui en réalité soutient la violence policière et militaire occidentale à punir les « infidèles » (sic) dans le monde (les Américains et les Européens assujettis aux Américains agissent en propriétaire du Monde et en comptables du commerce des armes pour assassiner en masse des êtres comme nous). Un journaliste est un rapporteur d'informations qui ne le concernent pas et qu'il déforme pour attirer l'attention puis l'intérêt des humains qui s'ennuient à vivre pour leur faire acheter l'objet à convoiter du commérage. Pour quoi le commérage est tant prisé ? Le commérage donne le droit de juger l'autre, de le condamner (le droit de haïr) : le commérage est une arme de pouvoir (nuire) : c'est une arme de domination. Cette arme permet de transformer ses amis en ennemis (en se laissant pénétrer par la haine, à être possédé par la haine qui dépossède en même temps de la sympathie, c'est-à-dire de prendre soin de soi et des autres qui nous entourent). Se créer des ennemis des amis, renforcé d'une morale qui légitimise la violence (l'antipathie agressive), est la raison profonde de toute domination politique : la haine des uns envers les autres isole chacune et chacun dans la solitude et la crainte (telle la haine des voisins) pour se référer au gouvernant (cru élu : un pouvoir ne se donne pas, il se prend) qui là, légitimise son pouvoir avec la terreur policière « pour votre sécurité » (sic) : se fait entretenir à ne rien faire que représenter l'autorité dans le luxe (une autorité sans privilège n'est plus une autorité, et dont le luxe demeure l'image du pouvoir). La fonction fondamentale de la morale occidentale est de légitimiser la violence : attaquer à infliger la souffrance par la « punition ». La morale légitimise la dénonciation de personne (des autres, pour les punir (d'être là) = les faire souffrir, et, dans les régimes totalitaires, les tuer (pour s'emparer de leurs biens)), elle forme à la haine de l'autre. Cette haine se renforce dans la compétition dans le monde du travail (= le monde de la violence de la survie), le monde insensé de l'esclavage par le salaire misérable à vivre une vie misérable dans la honte de sa soumission (sans en avoir honte). Est-il temps de prendre conscience du noeud qu'on se noue, nous-mêmes autour de chacun de nos cous ? Ça fait 56 ans de ma vie que les artistes et les philosophes interpellent intensivement : « eh, eh ho, réveillez-vous ! » Mais la décadence, celle des humains débilités en société te semble-t-elle inévitable ? La première, jeudi, des Guitares Volantes, m'a donné l'image d'une fleur rescapée unique et magnifique qui fleurit parmi les immondices de notre monde ! a+ mathius Le 13 juillet Frédéric Acquaviva a écrit : cher mathius ton rapport excellent a produit une brèche, le mr en question te demandant de le rappeler pour te proposer quelques miettes, une seule fois et pour toujours crois-tu vraiment que ta réponse lui fera décrocher son téléphone ? le pauvre, il va être terrorisé :-) le voici, en train de monter les marches http://www.ladepeche.fr/article/2017/03/29/2545490-arnaud-hamelin-quitte-ses-fonctions.html je pense, mais j'ai p-e tort, que tu n'aurais pas dû envoyer ce mail mais lui balancer cela en face ou mieux, en public, lors d'un débat sur l'effervescence culturelle de toulouse comme il doit y en avoir pas mal... car là, j'imagine qu'il n'y aura pas de suite... mais... espérons... tiens-moi au courant et aussi pour le livre bien à toi et puis... son passé dans l'entreprise d'avant-garde (surtout au niveau de la diffusion continue d'expérimentations sonores) Mac Donald, l'aidera surement à faire un choix judicieux en terme de programmation culturelle (du reste, vois, il a des goûts très variés, comme Macron qui aime Johnny Halliday et Rimbaud) http://copainsdavant.linternaute.com/p/arnaud-hamelin-2301984 Le 14 juillet 2017, Mathius Shadow-Sky a écrit : - Oui, mais une joute publique Frédéric ne sert pas à se comprendre, mais à créer un spectacle = une diversion (tels les faux philosophes à la télé). La lettre, même électronique, reste. Ici, cet échange est reçu par environ 200 personnes concernées (friends) qui elles-mêmes diffusent et discutent avec d'autres ou pas. Ces échanges sont en + publiés dans mon livre public : La Vie gît lente en médiocratie (nouveau titre du Journal vigilant d'exemples médiocratiques). - Ce qui importe est que le noeud à se nouer soi-même soit perçu. Là, on réentame le processus de désaveuglement par ricochet, et le maire de Toulouse semble percevoir (ou pas) ce qui peut renaître « des cendres » de la médiocratie. Vouloir faire de Toulouse une ville des arts ? Je pense plutôt qu'il veut se débarrasser d'un problème supplémentaire encombrant, il délègue, même pas par idéologie, mais plutôt par paresse. - A vous de me le dire Jean-Luc Moudenc a+ mathius Le 13 juillet 2017, Stéphanie Amiot a écrit : Hello Mathius, C'est dommage que tu ne saisisses pas la balle qui t'est lancée! Ce rendez vous qu'elle te propose est peut être une occasion unique de faire le lien avec les responsables des Musiques en Mairie même si ce sont de piètres mélomanes, tu eues pu alors négocier l'OPÉRA DU CAPITOLE ou la Halle aux grains. Le pamphlet que tu lui adresses la pose d'emblée dans la catégorie "ceux qui n'y connaissent rien et ne respectent pas les artistes" alors qu'elle te propose justement d'en discuter voire de te programmer. D'autre part, lorsque tu dis "C'est pour cette raison que les politiques depuis les années 70 du XXe siècle (après 1968) font tout en leur pouvoir pour asservir les artistes", je ne partage pas totalement ta vision car déjà sous Louis IV cette allégeance existait. Sinon, globalement, je partage ton point de vue mais je pense que tu ne l'adresses pas à la bonne personne. Bon allez, je te souhaite un très bon concert ce soir. Bisous Le 14 juillet 2017, Mathius Shadow-Sky a écrit : Stéphanie tu crois comme beaucoup d'autres que me faire acheter de quelques miettes pour entendre ma musique dans les espaces publics, qui me sont interdits, serait une consécration. Il n'en est rien. Cet échange, ici, qui a débuté par « le rapport sur la création musicale savante à Toulouse » va au-delà d'une aumône. Il s'agit de faire comprendre aux villes, qu'une ville des arts ne peut pas naître de la répresseion. Si ici, c'est impossible alors ailleurs, ça sera pareil. Et notre décadence ne va pas s'arrêter à la médiocratie. Ce monsieur qui a reçu le poste de fonctionnaire des musiques a reçu l'ordre de Jean-Luc Moundenc de me contacter qui lui-même a ordonné à sa secrétaire de me contacter pour me donner le rôle de celui qui est en demande. Un retournement de situation classique pour assoir un pouvoir. Dans ce jeu, celui qui demande s'asservit. Ce petit jeu va durer un certain nombres d'échanges, tant que le maire n'interviendra pas. Car l'expérience que j'ai eue avec lui à propos du Trans-Cultural Syn-phônê Orchestra en 2004/2005 m'a appris que c'est lui qui prend la décision finale. Ce qui rend inutile tout travail en amont avec ses subordonnés. L'enjeu est + profond, + refondateur que de mendier de l'argent qui dans tous les cas sera toujours insuffisant. Il ne s'agit plus de partager l'argent, il s'agit de comprendre le désastre humanitaire occidental et agir en conséquence. Et donner à comprendre qu'une ville d'art débarrassée des hypocrisies, des intrigues hiérarchiques et de la sottise ne peut qu'épanouir tous ses habitants. a+ mathius Le 14 juillet 2017, Kasper T Toeplitz a écrit : Hello mathius je reçois tes mails, moi, bof la place de la musique à Toulouse (où à Paris hein) j’en ai un peu rien à faire, mais bon, disons un regard un peu bienveillant. Mais quand même, une (vraie) question : tel que tu définis à longueur de mail la position éthique du ”vrai” artiste (et là c’est vrai que même entaché d’une vision très 18/19ème siècle ça se tient) qu’est ce que ledit artiste en a à foutre de la reconnaissance d’une mairie de région (ou même et pareil du ministère de la Culture si on va au-delà) en fait ce que tu demandes c’est des sous en plus et est-ce que 1000 10.000 ou 100.000 euros de plus feront plus rayonner ”la culture” ou, mieux, l’art ? sincèrement c’est pas dénigrer. Mais c’est une vraie question ou plutôt un vrai questionnement. Le but de tout cela (d’un bilan de Toulouse à travers les époques ou du statut des compositeurs dans la ville) qu’est ce que ça a à voir avec l’art ? Si le but est de signer un truc pour que tu aies des subventions, je signe. Si ça se pare d’une attitude ”on fait de l’art là” j’ai des doutes bien à toi (et à la liste) kasper Le 14 juillet 2017, Mathius Shadow-Sky a écrit : Kasper je comprends l'angle de ton argument : « en fait ce que tu demandes c’est des sous ». Tout est-il corruptible ? Comme tu dis, l'argent n'est pas synonyme de prospérité artistique. Nier vouloir savoir de quoi on parle ou provoquer le doute sur tout ce qui a été dit, alors que la description du fait est claire, c'est que tu te fais « l'avocat du diable », pour savoir s'il n'y a pas escroquerie dissimulée dans ces échanges :). Rassures-toi, ce n'est pas une histoire pour sous tirés, ni une attitude gnagnart, ni une recherche de flatterie. Il est apparu ici une coïncidence qui peut sortir les arts et la musique à soigner la misère d'esprit. Autant la saisir. a+ mathius